On va partir sur les femmes, c’est à cause de notre hétérosexualité pathologique. L’art, ce sera pour une autre fois.

 

Chacun a non pas sa définition, mais sa vision de la beauté : on dira que les critères de beauté sont culturels. Tel peuple aime les femmes grosses, tel autre minces. Là, on va focaliser sur le visage, qui est le centre de la beauté. On remarquera qu’il n’existe pas, ou rarement, de femme avec un très beau visage et un corps difforme, ou alors on n’a pas bien regardé. En général, donc, beauté du corps (la silhouette) et beauté du visage vont bien ensemble. On dit qu’il y a harmonie.

 

Premier exemple avec cette petite vendeuse de fleurs de l’Oklahoma, shootée en 1973, à la fin de la période hippie, la faute au massacre de Charles Manson, dont la main semble avoir été guidée par des forces occultes qui voulaient en finir avec le flower power, soit le retour du christianisme (ou de la vraie gauche), mais ne nous égarons pas. Merci d’éviter les commentaires graveleux sur les images qui vont suivre.

 

 

Même Poupou, le chat de la Rédaction (nous avons pris un animal pour rassurer les Français qui ont peur de nous mais qui adorent les chats, comme Marine elle a fait), a l’air subjugué.

 

 

Au début, quand on est tombés sur la photo de la fille aux pieds nus, déjà, on est tombés dans les pommes, ensuite, à notre réveil, on a cru qu’il s’agissait d’une nana qui faisait du stop dans les années 60, qui avait été prise par un serial killer, et qui avait disparu. Comme quoi, le pire n’advient pas toujours. Et ça nous a fait dériver sur les photos de jeunes couples à Woodstock qui ont été retrouvés – ensemble – 50 ans après.

 

 

Bon, on voit pas bien sur le premier cliché s’ils étaient beaux ou pas, mais en général, quand on est jeune, comme les bébés animaux, on est mignon. Ensuite, les choses se gâtent, mais c’est pas notre faute, c’est la faute du temps.

Regardez ce qu’est devenu notre ancien président, François Hollande. Avant, il était beau, il plaisait aux femmes, ses maîtresses étaient belles, et puis soudain...

 

 

On dirait un vieux chien battu par un maître sans cœur qui lui donne trop de susucre. En même temps, c’est un peu mérité car cette image, authentique, est tirée d’une vidéo où il se fait piéger sur les accords de Minsk (Minsk, pas Minc).

 

 

Excellente transition vers notre conclusion, puisqu’on va voir l’antithèse ou l’antipode de la petite vendeuse de fleurs (on aimerait bien voir si sa beauté a survécu après 50 ans).

 

 

Cette personne a voulu être belle, mais elle n’avait pas les bons critères, qui sont l’harmonie dans le visage. Or, si aujourd’hui on peut remodeler son visage à loisir, la seule chose qui ne se remodèle pas, c’est l’harmonie : elle est naturelle ou n’est pas. Dès qu’on touche à un truc dans un visage, beau ou pas, l’harmonie disparaît. Un seul être vous manque...

La laideur est-elle un mensonge ?

Maintenant, on va passer aux travaux pratiques, avec Lady Gaga et Esther Duflo. Sur la première photo, Lady (ou Mister, au choix) Gaga ressemble à Bilal Hassani. Même surmaquillé, il y a un truc qui cloche, et ce n’est pas sa laideur intrinsèque :

 

 

Gaga est laide, mais est-ce vraiment une femme ? Aujourd’hui, avec toutes ces histoires de changements de sexe, on s’y perd.

Regardez Duflo. Esther est cette mondialiste qui dit que si on empêche les femmes d’avorter, elles deviennent folles (faut cliquer sur l’interface de France Cul pour l’entendre).

 

 

Le mondialisme a voulu effacer les frontières entre l’homme et la femme, l’enfant et l’adulte, le vrai et le faux, le beau et le laid. Le résultat est pas terrible-terrible. Peut-être qu’on devrait revenir à des définitions plus classiques.

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