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Marseille, Las Vegas, Canada : terrorisme ou stratégie de la terreur globale ?

Après un mois d’août sanglant (Barcelone, Londres, Bruxelles, Russie, Finlande, etc.), la nouvelle vague de « terrorisme » qui marque ce début d’octobre 2017 (Marseille, Las Vegas, Canada) confirme un modus operandi qui interroge : les « terroristes » sont invariablement des individus déjà connus du renseignement, en difficultés sociales ou psychiatriques, laissant des traces accablantes sur les lieux du crime et systématiquement abattus par les forces de l’ordre ; les cibles et les victimes sont toujours des civils ou des militaires, jamais des dirigeants ou des représentants du Pouvoir ; les médias et les politiques concluent immédiatement à l’« attentat terroriste », devançant les revendications et les résultats des enquêtes ; l’immigration illégale de masse continue d’être encouragée alors que les « coupables » en sont essentiellement issus.

 

La menace terroriste ne diminue pas, au contraire elle s’amplifie. Et le Pouvoir demande à ses administrés de s’y habituer, tout en axant sa politique de sécurité sur la surveillance de la population et la répression de la liberté d’expression. Moins de budget pour l’ordre physique, plus de moyens pour l’ordre moral.

En période de crise sociale aggravée, cette « solution » est désormais vendue au peuple par des dirigeants « progressistes ».

Cette vague de violences est l’occasion de lire ou relire l’avant-propos de l’ouvrage de Jean-Michel Vernochet Les Fiancés de la mort et les stratèges de la terreur globale consacré à l’hypothèse d’une instrumentalisation récurrente et coordonnée des réseaux terroristes, et d’en découvrir la recension en vidéo par Michel Drac.

 

Les Fiancés de la mort – Note de lecture de Michel Drac :

 


 

Les Fiancés de la mort et les stratèges de la terreur globale

 

Avant-propos

 

Le livre de Jean-Michel Vernochet est à la fois sans concession et plein de subtilités. C’est un mélange rare. L’auteur est un journaliste professionnel, et il sait aller fureter loin de chez lui pour ramener des pépites cachées, les faits troublants et censurés. Bien, c’est déjà énorme. Mais cela ne saurait suffire pour faire un livre qui dure. Il faut aussi avouer des béances, des incertitudes, et avancer dans le noir, et cela, Jean-Michel Vernochet a l’honnêteté de le faire. Une attitude qui contraste de façon saisissante avec celle adoptée par les experts officiels du terrorisme.

 

Par ailleurs l’auteur tient à mettre en parallèle, un siècle plus tard, le terrorisme bolchevik et le terrorisme islamiste. Pourquoi pas ? Effectivement, il y eut au début du XXe siècle la même rage de détruire, l’obsession de trancher la vie des meilleurs, de faire couler le sang, d’être systématique dans la table rase, de ne pas trembler en semant la terreur. Et il y a certainement eu beaucoup d’assassins à l’époque qui voulaient absolument mettre fin à leurs jours en pleine opération massacre, en quelque sorte des esthètes de l’extrémisme. Mais il faudrait aussi mentionner la terreur anarchiste, qui ne prétendait rien construire, et n’a rien construit, de fait, alors que la Russie soviétique a bâti. Elle a abattu le nazisme et a servi de bouclier pour la protection des intérêts de la classe ouvrière dans le monde entier, ce pourquoi elle manque cruellement désormais aux Européens pauvres.

L’auteur mentionne également André Gide, comme l’un des pyromanes idéologiques de l’époque. On pourrait en ajouter bien d’autres. À l’époque certains artistes dévissaient, André Breton l’ami de Trotski disait n’importe quoi, Maïakovski le guerrier avait écrit :

« Comment osez-vous vous prétendre poète et gazouiller gentiment comme un pinson ? Alors qu’aujourd’hui il faut s’armer d’un casse-tête pour fendre le crâne du monde ! »

Après quoi, il se donnait la mort comme on signe un dernier poème, en 1930. Dans le terrorisme qui nous endeuille en France, se produit certainement la convergence des deux univers, celui des poètes révoltés et des jeunes à l’imagination morbide qui découvrent la pureté simple et directe, littéraliste, du Coran. Tous ceux qui ont voix au chapitre insistent sur les incubateurs d’islamisme que représentent les prisons. Pour sa part J-M Vernochet préfère insister sur la responsabilité de l’Éducation nationale, grande pourvoyeuse de sans-diplômes en route vers la case prison. Il y a bien entendu des têtes brûlées qui se veulent les meilleurs dans la « performance », l’œuvre en acte, comme maintenant certains jeunes Français que leurs profs de collège ont fait rêver, en leur faisant découvrir qu’il fallait admirer, révérer, celui, Guillaume Apollinaire, qui avait su écrire Soleil cou coupé [1] et cet autre poème intitulé Que la guerre est jolie.

Verlaine, le héros des ministères français de la Culture et de l’Éducation, tel que le découvrent les jeunes d’aujourd’hui, c’est donc l’histoire d’un homme très catholique, marié, et père de plusieurs enfants, qui saccage sa famille en allant s’acoquiner avec un jeune voyou puis lui tire dessus. Une histoire de Personnages Distingués, ultra sanctifiés parce que ces messieurs étaient poètes ; et les médias n’ont pas hésité à amplifier la chose, comme émouvant point d’orgue d’un roman people moderne : tuer et mourir ensemble pour épater le bourgeois, ne jamais dessaouler (le captagon remplaçant l’alcool chez les gens de Daech), que c’est beau !

Un bon élève distrait mais créatif, à qui on a expliqué, parce que M. Freud l’a dit, aussi que son âme est constituée principalement d’un subconscient qui veut tuer son père pour coucher avec sa mère, a besoin d’autres moyens d’expression, et il est frappé par les incohérences de notre société, les absurdités de ses références. Les plus malheureux, les plus accablés de misère et de contradictions en deviennent Les Possédés, ou abritent les nouveaux démons (les deux traductions possibles pour le titre du roman de Fiodor Dostoïevski se justifiant ici), qui font à présent trembler le temple du pouvoir.

Mais les uns et les autres peuvent cacher d’autres diables, et autrement meurtriers.

J-M Vernochet frappe très fort, par l’étude des contextes et de leurs connexions, d’une région du monde à une autre, d’une génération à la suivante. Mais, tout en accumulant les détails les plus troublants et les plus atroces, dans les faits que revendique le terrorisme islamique, il nous empêche néanmoins de sombrer dans la détestation des musulmans.

D’autres auteurs, ceux-là bien en cour, portent fièrement leurs œillères et refusent d’aller chercher qui peut bien vouloir utiliser sous faux-drapeau la folie de certains criminels. Or, là où certains « spécialistes » en font des tonnes, pour nous empêcher de chercher à qui peut bien profiter le crime, l’auteur ouvre et referme les guillemets et nous montre dans quelle direction il faut aller chercher les marionnettistes. Les services de police ont leurs limiers, mais nous autres profanes n’avons pas les clés précises pour accuser nommément qui que ce soit. Cela cependant ne justifie pas de prêcher la « théologie de la coïncidence ! ».

Dans ce contexte, les djihadistes reprennent le rôle d’épouvantails bien pratiques. J-M Vernochet consacre de cette façon un chapitre à ce que beaucoup nomment, à tort ou à raison, l’islamo-fascisme, une nouvelle arme rhétorique pouvant prendre le relais d’une insulte désormais périmée, celle de « négationniste », puisque dorénavant c’est aux Clinton et autres vaincus du boniment qu’on l’applique en toute justice, pour les gens qui ont cru pouvoir imposer indéfiniment leurs mensonges, en niant la réalité des désastres qu’ils ont eux-mêmes causés.

La guerre des mots est dans ce contexte plus que jamais le prélude indispensable à la guerre physique. L’affrontement, c’est tout l’univers de cet OTAN qui la veut, qui en a besoin, car comme lors la Deuxième Guerre mondiale, les États-Unis peuvent espérer y noyer – vœu au demeurant assez peu réaliste – ou y trouver l’occasion d’annuler une dette colossale et galopante.

Il n’y aura jamais de preuves suffisantes de l’implication de services secrets dans certains attentats. Parfois cependant, sans avoir la faculté d’être plus précis, nul ne peut interdire d’affirmer que celui à qui le crime profite est très probablement celui qui l’a télécommandé ; l’auteur invoque à bon escient un dicton latin en ce sens : cui prodest is fecit [2].

Chaque opération criminelle étudiée par l’auteur relève identiquement d’un projet de sidération du public à très court terme. Mais les ennemis de la vérité n’ont pas, n’ont jamais eu vraiment la maîtrise du temps long.

Et quand le public réclame aux « spécialistes » un peu plus de curiosité sur les gens qui tirent parti des attentats, ils désignent sempiternellement les « islamo-gauchistes », cible facile, des « conspirationnistes » sur mesure, le plus souvent « agents de l’Iran » en plus d’être le cas échéant ceux, de la Russie. Cela est bien commode, parce qu’alors il n’est nul besoin de preuves pour accuser, telle est la pratique du cirque médiatique !

J-M Vernochet en ce qui le concerne ne saurait être, lui, accusé d’appartenir au Barnum de la presse conformiste, avec ses diatribes contre-léninistes, contre-stalinistes et anti-trotskystes. Et pourtant, paradoxalement, son livre valide peu ou prou le schéma marxiste général, celui qui a soutenu l’émergence du monde soviétique : le capitalisme, comme un poulpe supérieurement intelligent mais ne voyant jamais rien au-delà de ses proies, a besoin de maintenir son taux de profit, et de s’étendre ad libitum. Toute guerre, comme toute famine, lui sert à rabattre vers ses filets le menu fretin, ainsi les masses de migrants qui feront baisser les salaires des travailleurs autochtones. L’impérialisme est consubstantiel à la vie et à la dynamique du capitalisme, comme l’ubérisation et le déracinement généralisé. Le choc des civilisations et les droits humains transformés en arme de destruction massive, ce n’est au final que la nouvelle offensive coloniale dans le discours, un nouveau prétexte à exploiter, pour commencer, le Sud toujours déboussolé. Et il n’y a donc rien de surprenant à ce que les victimes de siècles de conquêtes, d’ingérence et pour finir de colonisation, en veuillent à ceux qui les écrasent de leur morgue, et prétendent continuer ad vitam aeternam à les piller. Ceci vaut évidemment pour la Chine populaire puissance en expansion mondiale.

L’auteur est un pessimiste, angoissé par la déchéance de ses élites veules, par le délitement du tissu social, par ces journalistes qui se débinent dès que ça chauffe, alors qu’ils pourraient refroidir bien des délires en publiant ce qu’ils savent sur des faits avérés mais qui ne plairaient pas... Bref, J-M Vernochet en a assez, de nos hommes politiques qui ne parlent vrai que sur leur lit de mort, quand c’est trop tard, après s’être tus tout au long de leur carrière. Et il fonce, avec la conviction tenace que les attentats à répétition sont instrumentés comme une cacophonie qu’on orchestre, qu’on fait résonner en symphonie, pour les intérêts d’une puissance terroriste bien plus ordonnée qu’une petite cervelle de kamikaze. Le terrorisme musulman, dans nos pays à forte immigration du Sud, en est un prélude... un phénomène géopolitique qui par conséquent, pourrait très sérieusement déboucher sur la guerre civile. Sachant que toute guerre entre dans les calculs d’une classe politique aux abois. Or l’État profond transnational existe et il veille, il se tient aux aguets.

Cet État profond se confond avec l’intérêt des fabricants d’armes chimiques et des marchands de canon. Il est capitaliste, c’est-à-dire impitoyable sur la défense de ses propres intérêts purement financiers, et impérialiste, exigeant la soumission de chaque pays à sa logique. Le terrorisme se revendiquant du littéralisme salafiste veut certes, insistons sur ce point, la guerre civile en Europe, et l’État profond pareillement car il est néocolonial dans l’âme, il veut l’affaiblissement de chaque nation, y compris au Nord : là est la convergence souterraine qu’il convient de souligner et de dénoncer.

Parfois, l’auteur semble se laisser aller à un certain découragement : à quoi bon lutter, ré-informer, éclairer, expliquer, pour une jeunesse totalement droguée aux plaisirs et au virtuel hypnotique, quand elle ne bascule pas à l’occasion dans le crime bien réel. Comment est-il possible en effet qu’on retrouve régulièrement un passeport ou une carte d’identité, ou une carte de demandeur d’asile, sur les lieux du crime, comme pour signaler au public, avant que l’enquête ait eu seulement le temps de se déployer, qu’il doit borner là sa curiosité, se repaître du personnage odieux qu’on lui désigne ? Comment le public n’en tire-t-il pas lui-même les conclusions qui s’imposent ? D’après les gens de terrain, ces oublis répétitifs et incompréhensibles pour ou chez un criminel normal, ce genre d’incroyable et fausse bévue dans la mise en scène d’un monstrueux forfait, est en réalité un clin d’œil pour d’autres terroristes et un signal envoyé aux Services signifiant : ne vous mêlez pas de ça, ça relève d’instances plus hautes, nous contrôlons la situation. La répétition du « miracle » du passeport voltigeur retrouvé intact dans la fournaise au pied des Tours jumelles devient à ce titre une bonne farce destinée à consterner chaque police nationale, mais également à augmenter la hargne populaire contre la caste gouvernementale.

Ce qui est sûr, c’est que l’Occident se perçoit enfin, de plus en plus, comme se trouvant maintenant dans une impasse. Raison pour laquelle ce livre nous aide à percevoir l’urgence d’une critique en profondeur de l’hybris néo-impériale, cette orgueilleuse et meurtrière mégalomanie, qui débouche sur une dégénérescence accélérée de nos sociétés, et sur l’apparition de toutes sortes de tumeurs malignes. Nos ennemis prétendent « nous vendre à la fois la maladie et le remède ». De ce point du vue, ce livre s’avère fort utile pour qui veut les identifier, et résister aux démons de la vengeance.

Vladimir Fiodor Fredoux-Léontiev

Notes

[1] « Zone » fut composé dans l’été de 1912 à la suite de la rupture de Guillaume Apollinaire avec Marie Laurencin. Il figure en tête du recueil « Alcools », mais fut en fait le dernier en date des poèmes de ce recueil. Le sang de la décapitation - soleil cou coupé - serait le symbole de la disparition du christianisme dans le monde moderne. Le soleil du monde est tranché. Soleil qui n’est pas le dieu des païens, mais le Christ, soleil spirituel, préfiguré par Jean le Baptiste qui eut lui-même le chef tranchée à la demande de deux femmes fatales : Hérodiade et sa fille Salomé. Thème sacrificiel, lié à la destruction du passé et à la renaissance que l’on trouve aussi dans le mythe d’Orphée dont la tête tranchée continue à chanter. Le poète s’efforce de naître à un monde nouveau en recherchant l’ivresse de l’élévation solaire, en absorbant l’alcool, l’eau de vie : l’eau, symbole de mort et le feu, symbole de vie [selon Robin Guilloux, http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr ].

[2] Cui Bono pour les anglo-saxons : « L. Cassius ille quem populus Romanus uerissimum et sapientissimum iudicem putabat identidem in causis quaerere solebat cui bono fuisset »… « Le célèbre Cassius, que le peuple romain regardait comme le juge le plus intègre et le plus éclairé, s’attachait dans les causes à reconnaître à qui l’action avait été profitable ». Cicéron, plaidoyer pour Sextus Roscius d’Amérie, septembre 671 après la fondation de Rome.

Les Fiancés de la mort et les stratèges de la terreur globale
à lire chez Kontre Kulture :

Sur le terrorisme, lire également :

Retrouvez Michel Drac chez Kontre Kulture :

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16 Commentaires

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  • Les Arabes, Maghrébins ou musulmans qui tuent des européens sont juste des "cerveaux lavés" par leurs Imams, de pauvres types fanatisés par ces salauds qui, eux, ne risquent pas de tomber dans ce djihad . Ils tuent parmi des populations qui sont autant de populations esclaves d’Israël, sans jamais chercher à atteindre leurs dirigeants . Des fous, des sadiques et des lâches qui finissent par se suicider comme des scorpions entourés par le feu . En semant la terreur dans les populations goyim qui auront de plus en plus tendance à rester terrées chez elles, ces dégénérés font sans le savoir du "maintien de l’ordre sioniste" .

     

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    • #1811904

      Ce qui est marrant avec ces "djihadistes",c’est que l’on ne donne jamais les résultats sanguins pour savoir si ils ont consommé des drogues !

       
    • Des cerveaux lavés ? Sachez qu’un nombre important des enfants de l’immigration déteste les français ou les blancs. Ils veulent en découdre sous n’importe quel prétexte. C’est aussi une sorte de terrorisme. Ils ne savent même pas pourquoi ils sont haineux et j’en viens à penser que c’est génétique. Désolé de choquer certains mais perso, j’estime que l’effort de reconciliation doit venir de ceux qui nous haïssent car on leur a déjà tendu plus qu’une main. Et moi je n’ai pas envie de me reconcilier avec quelqu’un qui me crache à la gueule depuis 30 ans.

       
    • Pour leur laver le cerveau, encore faudrait-il qu’ils en aient un. Il fallait voir ces sourires dans certaines cités du 9-3 le soir du Bataclan avec des "zivas" dopés aux cris de "Bataclan, Bataclan, c’est d’la balle !!!". Ils étaient plus proches de la haine que de la mosquée. Sans vouloir les défendre, vos imams ont bon dos.......

       
  • « les « coupables » en sont essentiellement issus. »
    Les organisateurs sont aussi coupables... et ils sont connus pour la plupart. Tout comme ils n’ont pas de preuve lorsqu’ils vous juge Nazi, antisémite, perturbateur de l’ordre public, fasciste ect, on devrait les chasser sur ces mêmes bases, a savoir les preuves qu’ils savent si bien cacher et leur faire passer à la caisse de la justice...
    Ils perdent tous leur temps à discuter pendant que ces ordures nous saignent à vif

     

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  • #1811923
    Le 2 octobre 2017 à 16:59 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Marseille, Las Vegas, Canada : terrorisme ou stratégie de la terreur globale (...)

    Il y a une comédie américaine sortie en 1997, où sont inventés des terroristes albanais situés à la frontière canadienne, menaçant les États-Unis.
    C’est Des hommes d’influence (Wag the Dog) de Barry Levinson, scénario de Hilary Henkin et David Mamet, d’après le roman American Hero de Larry Beinhart :
    Le président des États-Unis sortant, candidat à la réélection, est éclaboussé par un scandale sexuel quelques jours avant le début du scrutin. Pour détourner l’attention des électeurs, ses conseillers et spin doctors décident d’inventer une guerre en Albanie.

    Heureusement que c’est une comédie, parce que le personnage interprété par Robert De Niro semble sortir tout droit de "l’État profond".
    Ne manquez pas le pseudo-reportage sur une jeune fille dans un village albanais bombardé, avec sa réplique culte : "Balance les sirènes du Anne Frank !"...

     

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  • #1811963

    la vidéos...c’est quand même grave de présenter l’immigartion et la gestion communautaire sous le seul prisme anxiogène d’un but conflictuel et perfide..prophétie autoréalisatrice ???

    D’autre part considérer les attentats "charlie" comme cause d’un embrasement "religieux" dans des pays lointains sans aucune considération pour les problèmes locaux, je crois que vous vous enfermez dans cela même que vous dénoncez !!

    y’à énormément de paramètres qu’il ne prend pas en compte et les démonstrations bancales sont souvent primaire, la dichotomie présentée comme indepassable et insolutionnable entre deux cultures ou religion est absurde surtout pour la France avec l’islam ; l’héritage Chrétien puissant et indélibile est tel que parce que et quand le catholicisme a le plus ressembler à l’islam ! après au niveau du peuple, le cadre mental familiale et social est extrêmement similaire même la desinvolture ou un degré de libertinage populaire...en voulant illustrer un conflit programmer vous caricaturez la réalité aux fins même de renforcer la thèse !

     

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  • agenda programmé mondialiste à répétition !!!
    pour illustrer le sujet : décryptage du film de 1985
    Retour vers le futur...

    https://youtu.be/nWmjBELM7fw

     

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  • Franchement je ne suis pas du tout persuadé que ça soit un complot pour toutes les petites actions.
    Pour les gros attentats, à la limite, mais il n’y a pas réellement de preuves.

    Si l’on regarde bien ce qu’il se passe, au contraire on voit que les médias cherchent en permanence à minimiser les faits. Et tous les attentats ratés passent maintenant en faits divers. Justement pour que les gens ne soient plus au courant. La plupart du temps les faits ne sont plus relatés que dans les journaux locaux. Quand un maghrébin essaie de tuer des gens au couteau par exemple.

    A mon avis s’ils attaquent des cibles faciles c’est par lâcheté et manque d’imagination. Il faut quelque part être con pour être un terroriste suicidaire. Ca c’est une réalité.
    Qui plus est, il y a toujours un musulman pour faire ces actes. Les terroristes abattus sont bien réels.
    Aussi ils détestent les occidentaux au sens large. Pour eux on est tous coupables. C’est racial à mon avis.

    Bref, on voit que la tendance est à cacher et à minimiser tout ça. Le plan ne semble pas être de lancer une guerre civile, au contraire. Sinon les gens d’extrême droite ne seraient pas surveillés et punis aussi sévèrement à la moindre action, etc...

     

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    • #1812097
      Le Octobre 2017 à 21:23 par otan, syndicat du crime
      Marseille, Las Vegas, Canada : terrorisme ou stratégie de la terreur globale (...)

      Même constat.

      Autant l’affaire merah schlingue, car elle comporte de réelles zones d’ombres, autant ce qui s’est passé à Marseille est le résultat d’une paresse étatique alliée à la médiocrité pathétique d’un zonard aliéné qui aurait dû être rapatrié en Tunisie depuis des années ; on ne peut pas parler de stratégie globale, puisqu’on ne sait même pas qui rédige les revendications, de la revue "amaq", (dont on peut deviner que certaines soient purement opportunistes) ;

      Arrêtons d’être naïfs à un moment, ça commence à nous coûter cher...

       
  • Je pense à Mélenchon qui louait les actions héroïques de ce qu’il appelle "la rue" pour sauver le peuple. Il suffit aux puissances "réelles" de sortir un clodo (drogué et armé d’un couteau de cuisine, relâché la veille par les services "compétents",) de leurs multiples chapeaux (sans fond) pour remettre les pendules à l’heure et ramener les chèvres en panique.

    Pendant ce temps, les cours de bourses flambent. C’est pas beau ça ?

     

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  • #1812281

    Il existe une haine de certains, mais trop nombreux immigrés, issus des classes de traines misères générationels ,envers les populations occidentales, plus nanties, L’immigration économique sans ressort d’empathie autre que sortir du cercle de la pauvreté, génère des frustrations délétères sur lesquelles le gauchisme plus fasciste que socialiste, a semé" l’envie et la haine impuissante" (rené Girard) en ressortantpour les immigrés, le passé colonial, et pour les autochtones, la culpabilité du passé colonial.
    Sans poser la question de la présence en France des anciens colonisés fuyant leur pays d’origine pour celui de l’ancien colon.
    Personne n’a obligé les immigrés à venir travailler de force. Le grand patronat cosmopolite et apatride, aidés par les associations droit de l’homisme cosmopolites et apatrides elles aussi, a rencontré le désir des plus pauvres, des moins éduqués et des plus frustres d’améliorer leur avenir.
    Confrontés à une culture différente, une société différente, des codes societaux nouveaux, un standard de vue plus élevé, beaucoup de ses immigrés et descendants d’immigrés réagissent par une haine stérile où passent à l’acte. Quand ils ne sont pas instrumentalisés par des services secrets en dérive de l’état profond, qui ne représente pas les intérêts ni des autochtones ni des immigrés.

     

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  • Colon a demandé une enquête à l’IGA ? OK..... Moi je dis que cet assassin-clando aurait dû être expulsé depuis longtemps ! Qui n’a pas fait son travail ? La bien-pensance laxiste a fait DEUX victimes de plus ! Parfois, et même si j’ai le droit et l’envie d’y croire encore, j’ai HONTE de ceux qui ne font pas leur job...... que les familles de ces malheureuses puissent trouver de bons avocats afin de faire éclater la vérité sur les faillites de l’état ! Çà aurait pu être ma femme, mes enfants.... Comme partout ! Je n’accepte pas ! Alors qu’ils nous fliquent ! Lisez la provence, c’est édifiant...... Les "journaleux", pour rester correct.....

     

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