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Noémie Madar (UEJF) : "Face aux discours de haine, Twitter doit réagir, et vite"

Une étudiante inconnue qui représente une minorité d’étudiants dans une sphère associative ultracommunautaire qui représente une extrême minorité des Français (un pour un million) vient de donner un ordre bref au réseau social Twitter : la haine doit cesser, et maintenant ! Sofort ! Schnell ! Los !

 

Que voulez-vous, c’est le lot de la France d’aujourd’hui, un pays dans lequel deux autorités se superposent, croisent leurs intérêts et parfois se font face : celle du pouvoir officiel, et celle du pouvoir officieux. Dans ce dernier se mélangent les réseaux à la fois occultes et asociaux en ce sens qu’ils ne représentent qu’une infime minorité de nos concitoyens. Il s’agit, vous l’aurez compris, du réseau franc-maçon et du réseau sioniste, qui sont d’ailleurs liés par le tronc (relire Hindi et Blet).

Que la jeune Noémie Madar dise des idioties, c’est presque naturel : les étudiants ne connaissent pas encore la vie, l’expérience viendra plus tard et il ne faut pas les blâmer pour quelques dérapages. De plus, quand on est une jeune fille, qu’on a 24 ans, on pense à l’amour, au travail, à la réussite, aux stars, toutes ces choses qui passionnent les cœurs purs. Sauf celui de Noémie, qui elle est obsédée par la haine. Et pas n’importe laquelle : celle qui viserait sa communauté. Pas estudiantine, dont elle n’a rien à battre (c’est une couverture), mais la haine antijuive. D’ailleurs, dans son cursus largement repris par la presse mainstream, qui ne vérifie rien quand ça porte la marque du pouvoir profond, on apprend une chose terrible. Non, Noémie n’a pas été déportée (elle avait moins 55 ans en 1942 puisqu’elle en a 24 aujourd’hui, donc née en 1996 et les déportations ont commencée sérieusement en 1942, faites les calculs vous-mêmes).

« Je pense que l’éducation, c’est une solution très importante. On continue à aller dans les classes, à déconstruire les préjugés. Récemment, j’étais face à un élève. Il me regarde et me dit : “Hitler, il n’a pas fini son travail”. À ce moment-là, ça paralyse, d’une certaine manière. On se dit qu’il y a encore du travail. Et pendant d’autres interventions, il y a des élèves qui sortent et qui nous disent merci. »

 

 

Quand Noémie, dont le témoignage est aussi solide que celui de Marie qui s’était dessiné des croix gammées sur le ventre dans le RER, raconte que Hitler n’avait pas « fini le travail », il faut comprendre non pas l’achèvement du réseau autoroutier allemand, mais la déportation des juifs, puisque tous les juifs ouest-européens n’ont pas été déportés. Par exemple, la grand majorité des juifs français n’a pas fait le voyage en Pologne, ce qui n’a pas été le cas des juifs étrangers arrivés en France dans les années 30, poussés justement par la montée de l’antisémitisme en Allemagne et en Autriche.

 

L’inversion accusatoire dans toute sa splendeur

Ainsi, Noémie, comme le petit Mendès et le jeune Reichstadt, sont devenus des spécialistes de la Haine, et cela semble être un job non seulement à plein temps, mais bien payé. Des jeunes gens surgissent ça et là qui deviennent des mesureurs de haine(s), on appellera ça des hainomètres ou des hainométreurs, plus juste. Il faut les croire sur parole, mais c’est ça qui est difficile : on a l’impression diffuse que le thermomètre est trafiqué, et cela laisse un goût amer dans la gorge.

Noémie a visiblement souffert de l’antisémitisme en France, mais pas celui des années 30 (quoique...) : c’est le prétendu antisémitisme contemporain qui lui pose problème, cette « haine » qui empêche le lobby sioniste d’exercer sa domination tranquille sur un peuple français à moitié endormi. À moitié, parce qu’une bonne partie des goyim est en train de se réveiller dans une France qui ne lui ressemble pas, ou plus, avec des agents de l’étranger placés à nombre de postes de décision !

« Sur les réseaux sociaux, c’est quotidien, dès que je publie un message, un tweet, ou que je dénonce un antisémite, c’est quasiment des vagues de messages haineux, antisémites qui s’abattent. Ça dit : “Tu dis ça parce que tu es juive, de toute façon vous faites la même chose aux Palestiniens, de toute façon les juifs sont tous riches, ils contrôlent le monde…” Comme si ce n’était pas la vie réelle. Alors que finalement, d’une certaine manière, ça me touche. »

Ah, le travail de dénonciation, comme en 42, c’est pas simple, moralement ! Même quand on n’a pas de morale, ou peu, on comprend une chose : que la dénonciation est une dégueulasserie sans nom, et que le karma des bouddhistes peut devenir quelque chose de très réel. Haïr les autres comme le font les sionistes, et là on parle des sionistes fous d’aujourd’hui, pas les sionistes de gauche du XIXe siècle qui rêvaient de travailler la terre en paix avec les autres, des fous qui ont utilisé la démocratie pour asseoir leur pouvoir désastreux, ça n’est pas sans conséquences. Pouvoir désastreux parce que concentré dans peu de mains au détriment de presque tous, ce qui ne mène jamais loin. Mais Noémie, Mendès et Reichstadt ne veulent pas voir cette évidence qu’ils vont contre le sens de l’Histoire, et que l’Histoire est une force incommensurable.

Le Point, ce magazine qui offre son Bloc-notes à BHL chaque semaine, a donc relayé la parole d’une obsédée par la haine ultraminoritaire, donc antidémocratique, et déjà, malgré son jeune âge, spécialiste de l’inversion des valeurs. La haine des sionistes pour les goyim devenant la haine des goyim pour les sionistes, c’est tellement plus confortable... Ainsi, la simple remise en question de ce pouvoir inique et dangereux peut être aujourd’hui, depuis la loi Avia, considéré comme de la haine, et de la haine en ligne, puisque tout l’objet de ces agents antifrançais est d’empêcher nos compatriotes de jouir de la liberté d’expression et de critique sur l’Internet.

Le pouvoir sioniste resserre la vis tellement fort, que ça en devient dangereux : le meuble entier peut péter. Et là, on risque de faire un bond de cent ans en arrière, et ça recommencera, encore et encore, comme le chante Cabrel. Allez, musique, ça détendra un peu l’atmosphère (et la sionosphère) :

 

« Les réseaux sociaux connaissent régulièrement des poussées de fièvre antisémite. Dernière en date, le 18 mai, avec le hashtag #Sijetaitunjuif [sic] sur Twitter qui a suscité un flot de messages haineux, si nombreux que le sujet s’est retrouvé pendant plusieurs heures en tête des thèmes les plus discutés sur ce réseau social en France. Comment lutter contre ce mal qui gangrène le Net ? Que faire pour sanctionner ceux qui prennent souvent des pseudonymes pour y déverser leur violence verbale ? Entretien avec Noémie Madar, présidente de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), qui multiplie les actions pour empêcher que ne se banalisent les discours xénophobes. »

On pourrait analyser en détail les injonctions de cette jeune paranoïaque aux propos invérifiables, mais ça ne changera pas grand-chose aux forces en présence et à leur rapport. On s’interroge quand même sur la publication d’un article de sept pages consacré à une personne psychologiquement fragile et totalement inconnue au bataillon qui donne ses ordres à la nation. Noémie Madar n’a rien fait, rien produit, rien écrit dans le domaine des idées et de la politique, et elle dispose d’une fenêtre de tir de ministre dans l’un des cinq grands hebdomadaires français. C’est ça, la force des réseaux : créer ex nihilo des personnalités médiatico-politiques de premier plan. Naturellement, la réaction sur le Net est quasi unanime, et Noémie le dit à sa façon (la haine) : un refus, un rejet massifs.

Pour rester dans l’information, voici les préconisations de la jeune ultrasioniste liberticide :

Quel constat faites-vous, a posteriori ?
Nous avons relevé plus de 1 100 contenus haineux et les avons signalés. De toute évidence, Facebook s’est bien amélioré, car 67 % des contenus signalés ont été retirés dans des délais très courts (entre trois et cinq jours). Twitter était, en revanche, à la traîne avec seulement 11 % des messages illégaux supprimés. Parce que cette inaction nous semblait inexcusable, nous avons décidé de saisir les tribunaux sous la forme d’un référé expertise.

De quoi s’agit-il ?
Face à l’inaction de Twitter, nous demandons aux juges de nommer un expert judiciaire qui pourra vérifier s’il existe ou non une véritable équipe de modération des contenus sur Twitter.

Comment ?
Cet expert pourra « se faire remettre tout document (concernant) les moyens et humains » que l’entreprise mobilise pour mettre en application l’article 6 de la loi LCEN que nous évoquions plus tôt. Ce texte impose en effet aux réseaux sociaux de « concourir à la lutte » contre le racisme, l’homophobie et l’antisémitisme. Or, Twitter n’a jamais voulu communiquer sur les moyens qu’il déployait pour s’acquitter de cette mission.

Quand serez-vous fixés ?
L’audience est prévue le 2 juin, par visioconférence.

Nous rappelons une chose qui s’est toujours vérifiée historiquement à Noémie et ses amis antifrançais, anti-liberté d’expression et anti-Internet : si vous bouchez un canal d’expression, il resurgira ailleurs. La presse mainstream est à 95 % sioniste, le Net est à 95 % non sioniste, ou antisioniste. Quand le Net en sera arrivé au niveau de soumission de la presse mainstream, l’antisionisme, synonyme de libération nationale, resurgira ailleurs. Et quand tous les moyens d’expression seront sous contrôle, alors c’est la rue qui deviendra le grand samizdat des Français épris de liberté.

Le moment humoristique, c’est quand Noémie explique que « l’idée n’est pas de censurer Internet » ! Ce qui n’est pas faux puisque l’idée, leur idée, qui est d’ailleurs toujours la même, est de censurer l’antisionisme, c’est-à-dire toute résistance au pouvoir profond. Mais de moins en moins profond, puisqu’il monte au créneau, se montre et donne ses ordres. Il faudrait être aveugle, complice ou lâche pour ne pas s’en rendre compte !

Il était inévitable que Noémie aborde les cas de Soral et Dieudonné (elle était de l’opération Dieudobus). Car quand le sionisme veut réglementer la vie des Français pour prendre tout le pouvoir, le pouvoir absolu, il faut éradiquer la vraie résistance.

Qu’espérez-vous si vous obtenez gain de cause ?

L’idée n’est pas de censurer Internet. Mais de faire prendre conscience aux opérateurs qu’ils doivent, eux aussi, lutter contre la montée des discours xénophobes. Si vous prenez l’exemple d’un café, le gérant n’est pas responsable des propos tenus dans l’enceinte de son établissement. Mais si un client crie fort, et à plusieurs reprises, un propos haineux de telle sorte que tout le monde l’entende, alors le gérant du café se doit de réagir. Sinon, il devient, d’une certaine manière, complice de la situation. C’est la même chose pour Twitter. À force d’inaction, ce site se rend complice des propagateurs de haine qui interviennent sur sa plateforme. En transmettant les adresses IP des internautes qui enfreignent la loi, en permettant ainsi de conduire des poursuites contre les personnes qui propagent la haine sur la Toile, ils aideraient à mettre un terme au sentiment d’impunité qui pousse certains à exprimer le pire sur le Net, sous le masque d’un pseudonyme.

C’est la suite des actions que vous avez menées contre Dieudonné ou Alain Soral ?

Nous nous inscrivons ici dans la même logique : ne rien laisser passer. Alain Soral et Dieudonné sont des « influenceurs » de haine. Ils entraînent avec eux des centaines de milliers d’internautes. Nous les avons fait condamner des dizaines de fois pour incitation et provocation à la haine raciale. Et pourtant leurs comptes sont encore disponibles sur Twitter, Facebook et YouTube. Dieudonné n’est plus le bienvenu dans les salles de spectacle classiques. Et pourtant, il a encore scène ouverte sur les grandes plateformes. Il est temps qu’elles prennent leurs responsabilités. Dieudonné a récemment mis en cause l’UEJF dans une vidéo où il dénonce ce qu’il appelle « la censure juive », appelle à notre dissolution et nous insulte car nous avons osé dénoncer une de ses dernières vidéos ouvertement antisémites. Mais, encore une fois, le racisme, l’antisémitisme ou l’homophobie ne sont pas des opinions, mais des délits. Nous ne cesserons de le marteler.

Attention à ne pas se donner des coups de marteau, surtout quand on est une fille qui s’essaye au bricolage...

Bonus : la soudaine apparition des NewsGuards...

Soudaine, c’est le mot : au moment où la campagne liberticide sioniste contre l’Internet est lancée, une nouvelle officine de gardiens des nouvelles sort du néant. Personne ne leur a rien demandé, les noms de ces collaborateurs – c’est le mot – ressemblent à des pseudos de spams, et leur travail de surveillance-délation, toujours le même, ressemble furieusement à celui des rageux de Stop Hate Money du petit-fils Mendès. Bref, une officine sionarde de plus qui se cache, la lâcheté étant une seconde nature chez eux. Voici la justification de cette tentative de (dé)moralisation sioniste de Twitter :

Alors que le COVID-19 se répand dans le monde entier, NewsGuard traque les intox les plus populaires en ligne sur la pandémie, et recense les dizaines de sites qui publient ces fausses informations.

Aujourd’hui, nous présentons une nouvelle série de données qui s’intéresse non pas aux sites ou aux fausses allégations, mais aux comptes Twitter qui répètent, partagent et amplifient ces intox en France, en Italie et en Allemagne.

Cette liste s’intéresse aux comptes Twitter qui ont un grand nombre de followers — 20.000 ou plus — et qui ont partagé des liens relayant de fausses informations publiées par des sites que NewsGuard a évalué Rouges, c’est-à-dire généralement peu fiables, ou qui ont partagé d’autres fausses informations sur le COVID-19.

C’est drôle, on dirait qu’il y a deux sortes de systèmes d’informations sur le Net. Ceux qui traquent la vérité, et ceux qui traquent ceux qui traquent la vérité... Comme de bien entendu, les NewsGuards (on ne rit pas), ces gardiens de l’Univers, dénoncent le premier site politique français !

Dans ce jeu de données, nous avons identifié 16 comptes Twitter qui constituent des “Supers Diffuseurs” de mésinformation sur le COVID-19. Cela signifie qu’ils ont de fortes audiences. Combinés, ces comptes atteignent environ 616.600 followers qui, évidemment, peuvent ensuite diffuser ces fausses informations via leurs propres comptes.

Chaque exemple de mésinformation sur le COVID-19 trouvé par NewsGuard a été publié après les efforts annoncés par Twitter le 18 mars pour lutter contre les intox sur le sujet. Ces “Supers Diffuseurs” ont donc pu continuer à diffuser de fausses informations sur la pandémie après cette date. Dans deux cas (un en France et un en Allemagne), il s’agit de comptes vérifiés par Twitter, ce qui signifie simplement que l’identité du propriétaire du compte a été confirmée, mais pourrait être interprété par certains utilisateurs comme une vérification par Twitter du compte et de ses contenus.

Dans de nombreux cas, ces comptes avaient déjà diffusé de fausses informations sur d’autres sujets. Par exemple, le compte Twitter du site allemand Compact-Magazin a relayé des théories du complot sur le 11 septembre ; le compte Twitter du site italien ByoBlu.com a partagé des articles établissant à tort des liens entre les vaccins et l’autisme ; et le compte Twitter du site français d’extrême droite Egalité Et Réconciliation a partagé de fausses informations sur la guerre civile en Syrie. Ces trois sites avaient déjà été évalués Rouges par NewsGuard, ce qui signifie que pour ceux ayant accès à l’extension de navigateur de NewsGuard, une icône rouge d’avertissement apparaissait aux côtés de ces intox sur le COVID-19, au moment où elles ont été postées.

Ce qui est incroyable, c’est le temps et l’énergie que les sionistes mettent à vouloir tordre la vérité ou induire les gens en erreur. Le travail de mensonge est permanent et toujours à refaire, car il finit par s’écrouler sur lui-même, alors que le travail de vérité est une construction qui allie le bon et le beau. C’est toute la différence... eschatologique.

Le vrai pouvoir contre la vraie résistance, sur E&R :

 






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