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Cybersécurité et intelligence artificielle : les Israéliens draguent les jeunes ingénieurs français

Chiffres qui font rêver les jeunes diplômés, « ONG » nébuleuse, entraînement technologique commando, les Israéliens ne reculent devant rien pour piquer les jeunes ingénieurs français dans les domaines qui les intéressent.

Tout ça pour finir par travailler pour une « démocratie » militaire à la constitution raciste en guerre permanente contre les pays limitrophes auxquels elle a volé des territoires !

- La rédaction d’E&R -

 


 

« Jusqu’ici, nous arrivions à attirer beaucoup de jeunes ingénieurs français. Mais avec votre nouveau président Macron et tout ce qu’il veut faire pour la tech et les startups, je ne sais pas s’ils viendront autant… »

Oren Toledano tient en haute estime les jeunes diplômés français. Cet Israëlien qui a vécu en France et en Belgique a créé à Tel Aviv « une plate-forme très attractive pour les talents du monde ».

 

Son programme, Israel Tech Challenge, est un peu l’équivalent, pour un Centralien ou un Polytechnicien, d’une déclinaison édulcorée de l’Ecole 42, version stage commando. Il fait suivre en effet, chaque année, une formation intensive de cinq mois à 50 ingénieurs de moins de 32 ans issus de nos grandes écoles, ou leurs équivalents américains ou brésiliens. Cinq mois consacrés à apprendre en accéléré le savoir-faire particulier d’Israël : l’intelligence artificielle et la cybersécurité, domaine dans lequel la start up nation est un leader mondial. Cinq mois… en travaillant tous les jours de 8 heures à 23 heures non stop. Israel Tech Challenge propose ce qu’on appelle un bootcamp dans le langage militaire : un camp d’entraînement.

 

Un premier salaire de 120 000 euros annuels

[...]

Coût de la formation : 33 000 euros, financés à hauteur de 22 000 par des sponsors, le reste par l’élève ou son entreprise. Parmi les sponsors : Microsoft, Intel, Google, Checkpoint… toujours à la recherche de matière grise. Car après les cinq mois de cours, les élèves travaillent pendant sept mois sur leurs projets, le plus souvent des algorithmes, pour lesquels ils sont (bien) rémunérés. Souvent, les jeunes décident de rester un an de plus en Israël ; ils touchent alors un salaire de l’ordre de 120 000 euros annuels. À leur retour en France, ceux qui venaient d’une entreprise voient généralement leur rémunération doublée ou triplée.

Lire l’article entier sur usinenouvelle.com

Sur le destin du sionisme, lire chez Kontre Kulture :

 

Derrière la démocratie de façade, la violente réalité israélienne, voir sur E&R :

 






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