A greg :
C’est votre avis et je ne cherche pas à vous agresser. J’émets un contre point de vue, vous définissez le "Diable" comme une notion donc un concept, donc une vue de l’esprit, d’accord, alors démontrez-nous vos affirmations avec des arguments et des références. Vous, vous avez des certitudes, nous, nous avons notre Croyance (nous n’essayons pas de la prouver, nous la vivons). Pour croire au Diable il faut croire en Dieu, son créateur, ce qui ne doit pas être votre cas. Or, vous faites référence à Pascal, qui fut un fervent croyant, et qui souffrit dans sa chair sa passion du divin (voici un extrait du Pari de Pascal) : « Vous avez deux choses à perdre  : le vrai et le bien, et deux choses à engager  : votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude ; et votre nature a deux choses à fuir  : l’erreur et la misère. Votre raison n’est pas plus blessée, en choisissant l’un que l’autre, puisqu’il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude  ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas  : si vous gagnez, vous gagnez tout  ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu’il est, sans hésiter. » et "Quiconque se sert du mensonge agit par l’esprit du diable." Si vous, vous n’y croyez pas sachez que des millions de personnes croient à Satan depuis des siècles et qu’actuellement il existe aux US et de par le monde des dizaines de milliers d’Eglises officielles et de sectes qui célèbrent son culte et ont des rituels et une liturgie, ainsi qu’une vision du monde, qui lorsque ces personnes se trouvent être les plus riches et puissantes nous en ressentons les effets, nous les quelconques. Vous citez Voltaire, comme un être éclairé, moi je le vois comme un opportuniste sans scrupules (et franc-maçon) qui toute sa vie vécut aux crochets de cours princières et qui n’avait de culte que de lui-même, à la manière d’un Talleyrand (tous 2 très intelligents) dont Napoléon disait qu’il était "de la merde dans un bas de soie..." et moi pour Voltaire "le soi sur un tas de merde...". Les Rothschild sont des hommes de chair et d’os destinés à pourrir comme les autres, mais il faut les considérer comme une Dynastie qui outrepasse les siècles avec une mystique et un objectif, il ne faut les considérer en tant qu’individus mais en tant qu’entité luciférienne. Vous avez votre opinion, j’ai exposé la mienne. A chacun de juger suivant sa conscience !

ouep :) judicieux n’est-ce pas ?

Pas de mauvaise foie s’il vous plait. Il dit : Well ... et s’arrête de parler.

Pas la peine de se mentir ce gars et sa famille ont fait plein de saloperies, pas la peine d’en rajouter.

Well se traduit : et bien, et non pas : et alors !

Il aurait dit : so what, la vous auriez raison, il a dit simplement, well pour commencer une phrase qu’il a arrêté parce que peine perdue à discuter, selon lui.

Maintenant pour sa gueule, là je vous l’accorde, il a vraiment une sale gueule, et il n’a pas peur. Contrairement à d’autres rats interrogé par we are change qui s’encourraient dés que les questions devenaient plus directes.

et quand je pense que nardine sa petite cousine "française" ecrit des livres sur le savoir vivre et les fourchettes à poisson...

Bonjour. Merci "Fay", c’est tout de suite ce à quoi j’ai pensé et je suis directement allé consulter mon dico d’anglais pour m’en assurer. Son "eh bien ?" peut signifier en la circonstance et dans le ton employé - même si l’on pense qu’il joue l’hypocrite - "eh bien, où voulez-vous en venir".

Vidéo, donc, une fois de plus ici malheureusement, sans véritable intérêt à mon avis... Sauf pour alimenter à l’excès la rubrique "vidéos" (E&R verserait-il dans le piège consumériste ?!) ou proposer une interprétation simpliste d’une parole dans un sens arrangeant. Dommage qu’on finisse par mettre tout et n’importe quoi ici...

il ressemble au clown de "ça" à ce momment là. il semble éssayer de masquer son "émerveillement" face au pouvoir que lui attribu l’intervieweur.

En réponse à Quo vadis.
J’ai de la difficulté à entendre les propos d’un être dans son entièreté d’être : un sot ou un fou peut, à l’occasion, proférer des vérités ; également des hommes intelligents et considérés parfois tels des génies peuvent dégoiser quelques bêtises dignes d’un abruti. Ainsi, considérer Voltaire comme un esclavagiste intéressé est vrai et Pascal comme un passionné (dans le sens, bien évidemment de "La Passion du Christ") est également vrai. Voir, par biais, dans le cynisme de l’un et dans la probité de l’autre, tout uniment, en faisant fi de leurs autres côtés est partial et partiel, à mon humble avis. Les hommes ne sont pas tant par leur contradiction que par les limites de leur esprit, fussent-ils des génies. A tout prendre, le pari de Pascal est tributaire de son époque encore très courte au niveau des sciences et, surtout, de leurs applications pratiques. Il est délicat de trancher, mais si on doit donner synonyme de "diable", il faut le nommer "monde".