Des rappeurs ont beau clamer qu’ils baisent la France, ce n’est hélas (pour eux) pas le cas. Ceux qui baisent la France ne sont pas des Noirs ou des Arabes, des caïds ou des chanteurs, des révoltés ou des racailles… ou des miséreux qui se la pètent. Ce sont au contraire de discrets nantis, personnes haut placées qui dirigent l’orchestre médiatique et scénarisent le petit théâtre politique. Eux niquent la France en beauté – et ça inclut les rappeurs – laissant les racailles faire du « air niquage » sur la France, accordant une liberté de licence qui ne coûte rien (sauf l’honneur national), histoire de brouiller les pistes. C’est l’histoire du niqueur qui n’a rien niqué du tout, sinon lui-même.

Ah charia charia charia,
tous les médiacrates à la lanterne

EIIL, Daesh, islamistes égorgeurs, tueurs d’Allah, hussards de la République islamique, appelez-les comme bon vous semble, ils servent les intérêts de la France à l’extérieur et à l’intérieur. À l’extérieur, cela permet un nouvel interventionnisme, le coup des « armes de destruction massive » étant un peu éventé. À l’intérieur, les zemmouriens, identitaires intra et hors FN, et autres Droite forte, capitalisent sur la peur de l’Arabe, du musulman, pour accéder au pouvoir. Pourquoi pas, la politique autorise tous les leviers, y compris le mensonge, l’exagération, la dissimulation… Seul le résultat compte. C’est de bonne guerre, et ça oblige l’adversaire à affûter ses arguments.

Mais nous faire croire que la charia va supplanter la loi française (ce qu’elle ferait déjà dans le 93), suite à un renversement démographique (vers 2050, d’après les calculs de Renaud Camus), que les Français de souche vont être chassés de chez eux (pour retourner re-construire l’Algérie ?), c’est du même niveau que l’attaque finale des Martiens. De l’art d’utiliser la peur et l’ignorance pour un profit politique. Or, qui veut voir que ce n’est pas la loi islamique qui s’impose en France, sur la loi de la République, mais bien la loi sioniste ? Et pas demain, mais bien aujourd’hui ?

« Les banlieues françaises sont désormais homogènes ethniquement et religieusement : les classes populaires “blanches” ont quasiment disparu ; le cinéaste Alexandre Arcady (présentant son film 24 jours qui retrace le meurtre d’Ilan Halimi à l’émission “On n’est pas couché” du samedi 26 avril 2014) confiait, encore abasourdi : “Savez-vous – je l’ai entendu dire par un responsable académique de la Seine-Saint-Denis – que dans les écoles publiques de ce département,, il n’y a plus un seul élève de confession juive ? Plus un seul ! Ils sont obligés d’aller dans les écoles privées.” L’islamisation des banlieues françaises est totale ou presque. L’assimilation, l’intégration, la mise en conformité au sein de ces quartiers exigent désormais d’être un musulman comme les autres. L’islam est l’horizon identitaire indépassable de ces populations. » (Le Suicide français, Éric Zemmour, p. 501)

Liste des participants au coup d’État du 9 janvier 2014

Il y a eu deux sortes de participants lors de cette journée historique : les participants actifs, qui donnaient leurs ordres et lançaient leurs oukases, et les obligés, qui parlaient avec le pistolet de la terreur shoatique sur la tempe, comprendre perdre son poste. Voici, par ordre d’apparition, les conjurés du complot à ciel ouvert :

 Roger Cukierman, président du CRIF
 Ruth Elkrief, animatrice politique sur BFMTV
 Arno Klarsfeld, sans profession
 Meyer Habib, député UDI des Français de l’étranger 
 Ani Basar, journaliste envoyée spéciale à Nantes 
 Bernard Stirn, président de la section du contentieux au Conseil d’Etat
 Alain Jakubowicz, président de la LICRA 
 Olivier Faure, député PS (obligé)
 Apolline de Malherbe, journaliste au service politique de BFMTV (obligée)
 Sarah-Lou Cohen, envoyée spéciale au Conseil d’État 
 Eduardo Rihan-Cypel, député PS, en direct de l’Assemblée 
 Jean-Marc Ayrault, Premier ministre remplacé au pied levé par Valls (obligé)
 Luc Carvounas, sénateur PS (obligé)
 Cindy Léoni, présidente de SOS Racisme 
 Manuel Valls, ministre de l’Intérieur promu en quelques heures Premier ministre (obligé)
 Patrick Klugman, avocat de SOS Racisme 
 Harlem Désir, premier secrétaire du PS
 Aurélie Filippetti, ministre de la culture (obligée)
 Laurent Neumann, éditorialiste de BFMTV
 Bernard-Henri Lévy, vedette de télé
 David Assouline, sénateur PS 

Nous n’avons pas compté ceux qui s’activaient dans la coulisse, téléphonant aux uns et aux autres pour qu’ils apparaissent, mettent la pression, et obtiennent le résultat que l’on sait, contre Dieudonné, la liberté d’expression, et la République. Une triple agression. Si ceux qui se sont montrés ont montré leur puissance, ils ont aussi montré… leur lobby. Ce qui est à double tranchant. Car la force étant passée de l’obscurité à la lumière, désormais, le lobby sioniste n’est plus un fantasme.

La fameuse journée du 9 janvier 2014, où Valls est devenu de fait Premier ministre, 81 jours avant son sacre officiel du 31 mars (toujours laisser un peu de marge, pour les naïfs), coup d’État orchestré sous la baguette non pas du lobby sioniste, ce qui reste vague, mais d’un groupe sioniste non-identifié (appelons-le « Groupe du 9 janvier »), jusqu’au défilé hallucinant de ses représentants sur BFMTV, en plateau et en duplex, dans un silence médiatique assourdissant qui sentait la peur animale, une date et un événement qui seront étudiés à coup sûr dans les années qui viennent, en sociologie des médias, en histoire et en sciences politiques, évidemment, cette fameuse journée, donc, a montré qui était le patron, le maître, la loi. Il y aura des livres sur le coup d’État du 9 janvier, comme il y en a eu sur la soirée du Fouquet’s. Peut-être cette date sera-t-elle un jour fériée.

« Le président Boumediene avait pourtant prophétisé en 1974 : “Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquérront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire.” » (Ibid., p. 146)

On n’est plus chez nous, puisque la loi républicaine a été bafouée, que la justice a été ridiculisée, et que les Français ont été humiliés. Pour que la volonté sioniste soit faite. Ce renversement politique – qui n’est que la confirmation tangible de la puissance du lobby, pour ceux qui en doutaient encore – n’a pas besoin d’un grand remplacement, puisque ce dernier s’est déjà opéré au niveau de l’élite politico-médiatique ; le reste, c’est pour la galerie. Pourquoi s’emmerder à remplacer les rameurs, si on peut s’emparer de la direction du bateau ? En commandant tous les leviers, financier, politique, médiatique, juridique et policier, il sera facile de ratonner les Arabes, de satisfaire les beaufs, et de conserver le pouvoir.

La guerre chrétiens/musulmans n’aura pas lieu

Malgré les prévisions du mage Zemmour, qui écrivait, page 499 de son livre Le Suicide français :

« Cette jeunesse de “petit blanc” rumine sa mise à l’écart symbolique… Souvent électeurs du FN, ces jeunes prolétaires dissimulent de moins en moins leur haine des “Arabes” et des élites ; crient “On est chez nous”, dans les meetings de Marine Le Pen. Longtemps, la France issue de la révolution a craint et subi l’affrontement des “deux jeunesses”, issues de deux écoles, la catho et la laïque. Notre avenir nous annonce un triangle infernal paré de tous les dangers, sans que l’on sache comment il s’écrira. »

C’est évidemment ce que cherche le lobby sioniste, pardon, le Groupe du 9 janvier (disons G9/1), l’affrontement des victimes, l’affrontement de ses victimes. Parions que si les « Français » expulsent les immigrés, comme l’espèrent nos maîtres, alors ce second Vichy servira encore longtemps au lobby pour tenir et punir ceux qui auront servi à la manœuvre. Manipulation à prévoir, on voit déjà pointer son nez. Double arnaque, et double peine : après les avoir bien séparés (merci SOS Racisme), puis bien montés l’un contre l’autre (merci Sarkozy), le peuple chrétien, retourné contre le peuple musulman, sera ensuite puni moralement pour avoir péché contre la paix, contre l’humanité, contre la morale. Contre l’antiracisme ! C’est tellement tordu que c’est possible. Le piège se refermera alors sur les Français, qui auront été tenus pendant 50 ans sous la menace de l’épée de Damoclès de Vichy, et qui le seront ensuite par la ratonnade généralisée que le G9/1 appelle de ses vœux. Car ne vous y trompez pas, à travers Dieudonné, ils visent toute une partie du peuple de France : celle qui ne se laisse pas dominer.

Un second Vichy, le premier commençant à dysfonctionner (saturation de la propagande, sentiment grandissant d’escroquerie, montée imprévue d’une lucidité sur le sionisme) et surtout, à produire un Français 2.0 imperméable à la culpabilité vichyste. Ô comme le piège est tordu, en double bande. De la même façon, le 11 Septembre a été pensé magistralement : le premier avion dans la tour Nord pour réveiller les médias, le second dans la tour Sud pour donner à manger aux médias. Les gaver. Nul doute qu’il sera un jour reproché aux identitaires de tous bords d’avoir re-jeté les Arabes à la mer. Un, sous-traiter le sale boulot, deux, exercer un chantage moral.

La manipulation des identitaires

Exactement le modus operandi d’une certaine mafia, pour une élimination : envoyer un tueur extérieur faire le job, qu’elle élimine ensuite par un tueur de confiance appartenant à la Famille. Ainsi, les ponts sont coupés entre le donneur d’ordre et l’exécuteur. Tous se tenant mutuellement, en interne, par les meurtres commis, et les meurtres partagés. La solidarité d’une famille de tueurs se renforce donc avec les éliminations. Message en passant aux identitaires : dans le meilleur des cas, vous serez éliminés. Politiquement, s’entend.

« Incroyable destin de la banlieue rouge qui aura été la transition historique entre le christianisme (la cathédrale de Saint-Denis) et l’islam. Livrées comme les places fortes des nouveaux “protestants” qui avaient troqué Luther pour Staline, elles se transformèrent au fil des ans en d’innombrables La Rochelle islamiques qui enserrent, encerclent et menacent nos grandes métropoles. À l’époque du siège par Richelieu, on surnommait la Rochelle “La Mecque du protestantisme”. Chateaubriand avait été prophète en 1840 : “Détruisez le christianisme et vous aurez l’islam.” » (Ibid., p. 215)

Rectificatif : détruisez le christianisme et vous aurez le judaïsme !

Le plan est simple : amalgamer la communauté musulmane aux racailles (ces terroristes de l’intérieur), rattachées automatiquement à « violence » (entendre violence anti-Français, ou anti-Blancs), afin de désolidariser le Français d’en bas de l’immigré d’en bas, si l’on ose dire. Après avoir réduit le pouvoir de l’Église sur les chrétiens par quarante ans de bombardements laïcs, il s’agit désormais de diaboliser l’islam par les images des guerres du Proche-Orient, où l’Arabe apparaît comme un égorgeur de chrétiens et un destructeur de démocratie. Il faut alors beaucoup de force mentale et de lucidité pour résister à cette propagande unilatérale, déguisée en information, et conserver les idées claires. Avec quarante ans de recul, on dirait que l’armée immigrée a été envoyée contre les Français, dont les armes ont été confisquées, et qu’aujourd’hui, après avoir bien fait monter la tension, notamment par l’impunité des crimes et délits assurée aux racailles par les juges gauchistes, les armes soient peu à peu rendues aux Français. Pour que vengeance s’exerce. Vision grossière ?

« Ce retournement inouï de perspective, ce constructivisme absolu, cette culture du déni, spécifiquement française, s’aggraveront encore lorsqu’il apparaîtra, à partir des années 1980 et 1990, que la plupart des nouveaux délinquants sont issus de ces familles d’immigrés que la France avait accueillies en masse dans ces mêmes années 1970. Alors, les bandes de trafiquants, de voleurs et de violeurs seront sanctifiées victimes éternelles d’un ordre néocolonial et raciste. Ce que nous appelions délinquance, ils l’appelleront victimes ; ce que nous appelions victimes, ils l’appelleront coupables. » (Ibid., p. 123)

Un oubli de taille : la loi juive

À partir des années 80, les immigrés sont intouchables, sacrés, sanctuarisés. Aujourd’hui, leur protection d’en haut tombe, homéopathiquement. La communauté immigrée, sans faire de détail, est l’objet d’attaques en légitimité de plus en plus nombreuses : français, pas français ? Voleurs, pas voleurs ? Amis, ennemis ? L’immunité a été accordée au gré des besoins politiques et économiques. Ceux qui imaginent que la fin de l’immunité des immigrés (et de l’impunité des racailles) est relative à la crise, avec son augmentation du chômage, se trompent. Puisque la gauche au pouvoir l’entérine, comptant sur le fameux vote immigré. La droite (UMP) ayant perdu tout espoir de gain sur ce vote spécifique, après les manips sarkoziennes, elle ne compte plus dessus, et va chercher ses électeurs passés chez Le Pen, en durcissant le discours. Plus rien à perdre, haro sur les bicots et les négros ! Vous allez voir qu’on n’a encore rien vu.

« C’est au cœur des émeutes de l’été 1981, que le secrétaire de cellule du PC de Vénissieux abandonna à son tour le quartier ; les enfants de l’immigration maghrébine avaient gagné ; le pouvoir avait changé de mains. L’ère des ceintures rouges prenait fin ; et s’ouvrait celle d’un nouveau pouvoir islamo-maffieux, où le trafic de drogue, et ses profits croissants, servirait bientôt de moteur économique à des territoires arrachés à la loi républicaine, progressivement organisés en contre-sociétés régies par les prescriptions de l’islam. Le regroupement familial – jamais interrompu – fournirait sans cesse les renforts à ces bandes, tandis que la désindustrialisation à partir de la fin des années 1980, en provoquant un chômage massif (40 %) parmi ces jeunes hommes sous-diplômés, tiendrait le rôle qu’avait joué le STO pendant la guerre pour alimenter les maquis de la Résistance. » (Ibid., p. 211)

Le nouveau pouvoir islamo-mafieux ? Dans les cages d’escaliers, devant les boîtes aux lettres, peut-être, mais pas dans les sphères, là où ça compte. Il reste un livre à écrire à Éric Zemmour, celui des « territoires arrachés à la loi républicaine, progressivement organisés en contre-sociétés régies par les prescriptions de la loi juive ».