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Le drame de la pop

L’intime et le commun, la pop et la répétition, une musique industrielle, culture populaire et culture de masse, « babytalk », simplification des émotions.
La pop entendue comme musique populaire (contemporaine), ou musique pour le peuple.

 

 

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41 Commentaires

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  • #3248246
    Le 19 septembre 2023 à 07:16 par jc
    Le drame de la pop

    Très bonne intervention.
    Et le son de conclusion est résume à lui seul le succès d’un Booba.

     

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  • #3248307
    Le 19 septembre 2023 à 10:21 par giuo
    Le drame de la pop

    Cela illustre parfaitement le ramdam autour du "Lac du Connemara", une chanteuse moderne, idéologie mièvre, sans voix, bricolée à mort, une musique abêtissante (mais efficace) qui crache à la gueule d’un ancien, avec du métier, avec un courage politique, avec voix, avec de l’orchestration, avec de la culture etc, etc...

     

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  • #3248336
    Le 19 septembre 2023 à 11:24 par Le grand ménage
    Le drame de la pop

    Avez-vous déjà entendu un homme chanter sa joie de larguer sa femme, un poète écrire combien il est heureux d’enfin se débarrasser de sa greluche ?

    On en vient à se demander : les femmes aiment elles vraiment les hommes, même les meilleurs ?

     

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  • #3248356
    Le 19 septembre 2023 à 12:06 par Lardenoy
    Le drame de la pop

    Eh, oui...bien loin de nous le temps où des hommes et des femmes de haute sensibilité, talent et culture (Gérard de Nerval en Valois, Georges Sand en Berry), collectaient pieusement les chansons, complaintes et refrains issus du peuple et qu’ils sentaient en voie de disparition prochaine ( Le Roi Renaud, la Belle au Jardin d’amour, la complainte de Saint Nicolas, et j’en passe).

    Dans " Sylvie" un de ses chefs-d’œuvre, Nerval raconte sa tristesse quand, retrouvant son amour de jeunesse, il l’entend " phraser" des airs à la mode parisienne quand il espérait retrouver les complaintes qui avaient bercé sa rêveuse jeunesse...

    Jeune homme, en totale réaction contre la guimauve, vulgarité et niaiserie du show-biz, j’étais heureux de chanter, en forêt de Compiègne " le Roi Renaud" ne loupant alors aucun concert de Mélusine, Malicorne ou de Mont Joïa et, à 66 balais, je ne regrette pas mes amours de jeunesse "vitæ brevis, ars longa !"
    Merci pour cette analyse pertinente et, somme toute, assez désespérante...

     

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  • #3248394
    Le 19 septembre 2023 à 13:25 par Joss
    Le drame de la pop

    En parlant des thèmes de prédilection de la musique populaire à savoir notamment l’amour, la rupture amoureuse ou la rencontre amoureuse, je dois dire que la chanson 1er Gaou de Magic System (groupe pop ivoirien) s’inscrit dans ce sillage. Cette chanson le monde entier l’a adoré. Or elle ne m’a pas beaucoup plus, puisque je la trouvais d’une banalité confondante. Concernant les onomatopées incompréhensibles et la répétition, Pata Pata de Miriam Makeba en est un parfait exemple. C’est même cette chanson qui l’a révélée au monde. Pourtant Makeba elle-même a avoué ne pas comprendre pourquoi les gens adoraient tellement cette chanson qu’elle trouvait complètement nulle !
    Sinon Money on the dash de Elley Duhe ou My time de Million Time et Alex Gaudino symbolisent à mon avis aujourd’hui cet effondrement de la musique pop, dans lesquelles on note une répétition abondante et des mélodies pauvres, en dépit du fait que ces chansons ont un rythme entraînant.

     

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  • #3248431
    Le 19 septembre 2023 à 14:38 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Le drame de la pop

    Thriller (1982), de Michael Jackson & Cie, demeure un putain d’album

    le tour de force d’être à la fois complètement ancré dans une époque,
    et intemporel

    on ne peut pas en dire autant des beatles ou des stones

    un autre album intemporel, Harvest (1972), de Neil Young

     

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    • #3248472
      Le Septembre 2023 à 15:54 par Eric
      Le drame de la pop

      « on ne peut pas en dire autant des beatles ou des stones »
      Ben si précisément, puisque c’est le propre des albums devenus des classiques.

       
  • #3248795
    Le 20 septembre 2023 à 14:31 par Anno
    Le drame de la pop

    Oh oui, la pop c’est de la merde en barre, mais ce qui me saute au visage c’est la comparaison avec la pop 80’s, avec celle d’aujourd’hui. Les "tubes" des 80’s sont quand même travaillés, en général, des paroles qui avaient, pour la plupart un sens, mais aujourd’hui, mama mia, c’est vraiment la raclure du fond des chiottes, quasiment aucune mélodie, les paroles, la vidéo l’a bien exprimé, niveau age de 9 ans. Et on ne parle pas de la machine qui rend le tout aseptisé avec un rythme plus binaire tu meurs. Triste reflet de la réalité.

    Même le jazz est en soin intensif, les festivals majeurs quand on regarde les programmations, ça fait peur, obligé d’inclure des groupes ou des chanteurs qui n’ont rien à voir avec le jazz, ou alors avec un soupçon. Les monstres du jazz ont quasi tous trépassé comme les dinosaures, pourtant il y a des jeunes très talentueux mais on ne les voit pas. Au final qui décide, les gens ou les producteurs ?

     

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  • #3248824
    Le 20 septembre 2023 à 16:03 par toto l’asticot
    Le drame de la pop

    Brassens
    Brel
    Ferrat
    Ferret
    Renaud
    vous nous manquez ... quoiqu’il y ait encore Bénabar , Ronan Luce
    .
    Quel plaisir d’essayer de se souvenir d’une chanson !
    La difficulté dépassée de se rappeler des 7 minutes de texte de "Supplique pour être enterré sur la place de Cette (nouvellement Sète) "
    Ou encore les variations de "Mathilde" ...

     

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  • #3249621
    Le 22 septembre 2023 à 09:11 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Le drame de la pop

    lorsqu’on est lecteur, de Louis Ferdinand Céline par exemple,
    la "chanson française" est minable, en comparaison

    perso, lol, je me faisais mes propres petites chansons
    à tue-tête

    à partir du Voyage, de Mort à Crédit
    Céline pour toujours
    la voix d’un frère

     

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  • #3251056
    Le 25 septembre 2023 à 06:57 par Zakaria
    Le drame de la pop

    Ce jeune est bon.

     

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