D’ici là, la retraite ne sera plus payée aux expats...

Que Sarkozy soit un salopard ayant trahi et renié mille fois sa propre parole, ce n’est un mystère pour personne ... sauf peut-être pour deux ou trois salopes cacochymes de LR !
En revanche, le processus de départementalisation de Mayotte est une histoire qui date de bien avant lui. En fait, il date du référendum de septembre 1958 qui offrait, en supplément de l’adoption de la nouvelle Constitution, le choix aux territoires d’Outre-Mer de se libérer de la métropole. Les Mahorais, pas fous, prirent pour exemple la toute proximité de l’Ile de la Réunion, dont le succès de la départementalisation remonte à 1946, et souhaitèrent donc bien évidemment rester dans le giron de la France.
La faute impardonnable, envers Mayotte et la France, c’est, par lâcheté de la part de tous les gouvernements qui se sont succédés depuis 1958, de ne pas avoir exigé des habitants de ce territoire, en préalable obligatoire à toute consultation référendaire, qu’ils se conforment strictement aux lois et aux mœurs de la Nation qu’ils souhaitaient rejoindre, sans doute à juste titre si on se place sur le plan du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Ainsi, pendant des décennies, aucun effort n’a été fait pour que ce territoire adopte la culture et les mœurs communes qui identifient, notamment, la France. On a laissé les Mahorais baigner dans leur propre culture, dont le fondement est un Islam teinté de particularismes africains et dont l’organisation sociale s’appuie, en grande partie, sur les principes légaux édictés par la charia.
Ainsi comme le déclarait Jean-Jacques Gilland, magistrat président de la CREC (commission de révision de l’état civil) en 2006 : "On me fait faire des monstruosités, je marie des gamines de neuf ans. » L’intégration réussie, ratée en l’occurrence pour Mayotte, c’est de ne pas devoir avoir à jongler, comme ce magistrat, entre le droit commun (la République) et le droit local (la charia). Magistrat qui avouait lui-même que les Français mahorais, sous droit musulman, pouvaient choisir le droit commun mais que peu le faisaient. Pour la plupart, ils préféraient se placer sous la responsabilité des 17 cadis de Mayotte, qui obéissent, toujours, à cette charia.
En fait, la situation mahoraise n’est que la loupe grossissante de ce qui se produit déjà en France, et qui s’étendra bientôt partout, par manque de fermeté dans les exigences envers les postulants à l’intégration en France. Vous savez, le fameux "La France, tu l’aimes ou tu la quittes !"

Phid : sauf que ça n’est pas un manque de fermeté, vu que c’est exactement le but visé, donc ils savent très bien ce qu’ils font. Tout est mis en place depuis plus de 40 ans pour détruire la France, voire l’occident, et le laxisme au nom des droits de l’homme, des ong à fond humanisme , qui ne défendent que les humains non occidentaux, et le rouleau compresseur avance toujours.

Domus, c’est juste. J’aurais dû préciser manque de fermeté volontaire des gouvernements successifs associé à la crétinerie persistante de la majorité des Français qui porte inlassablement ces enc..., au propre comme au figuré, au pouvoir depuis des décennies !

Hop En Marche vers le Grand Ouest ! Là-bas ils seront bien accueillis, car ailleurs ce sont des fachos ! Ils adorent les crêpes et les galettes saucisse.