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"Aimer" signifie-t-il la même chose pour l’homme et la femme ?

"Les femmes aiment de manière opportuniste. Les hommes par sacrifice."

« Les femmes, pour la plupart, ne nous aiment pas, elles ne choisissent pas un homme parce qu’elles l’aiment, mais parce qu’il leur plaît d’être aimées ». Jean-Baptiste Alphonse Karr

 

Une femme ne peut désirer qu’un homme qu’elle considère de rang supérieur à elle (beauté, richesse, statut social, peu importe). On dit qu’elle est hypergame de nature. Elle est programmée pour chercher le meilleur partenaire possible, sans arrêt. Elle veut toujours « faire mieux ».

Dans la savane, les lions vivent en groupe, généralement composé d’un lion, de plusieurs lionnes (le salaud est polygame), ainsi que des lionceaux. Il est courant qu’un autre lion attaque le mâle du groupe pour en prendre la tête. S’il parvient à tuer ou faire fuir le chef actuel, que se passe-t-il ? Les lionnes vont rester avec le nouveau mâle. C’est le vainqueur, le plus fort. Il est simplement meilleur. Les lionnes ne sont pas des salopes, elles répondent simplement à leurs impératifs biologiques.

Les femmes n’étaient historiquement pas encouragées à étudier et travailler (tout du moins en tant que salariée). Ce manque de statut social et économique lui permettait de se satisfaire de la majorité des hommes, qu’elle voyait comme « supérieurs ».

 

Célibat généralisé

De nos jours, partout où le féminisme s’installe, le célibat augmente. La population la plus touchée est l’ensemble des hommes « bas de gamme » (moche, pauvre, etc), ne pouvant plus remplir les conditions hypergamiques de la femme moderne. Le deuxième groupe victime est l’ensemble des femmes diplômées, souvent qualifiées de « célibataires exigeantes » car étant intellectuellement et économiquement supérieures à la majorité des hommes et ne pouvant non plus se satisfaire d’un homme « inférieur ».

Problème que j’ai décris maintes fois : peu de mecs sont « au-dessus » de ces femmes (à part leur patron). D’où le Principe de Pareto, que j’utilise souvent, faute de chiffres officiels, pour illustrer le concept. 20 % des hommes du haut de l’affiche sont donc désirés et baisent 80 % des femmes. (Ce qui est une exagération – pour les abruti(e)s qui n’auraient toujours pas compris –).

 

Les émotions avant la logique

Les femmes sont irrationnelles et incohérentes. Elles ont la capacité de raisonner logiquement mais leurs émotions prennent naturellement le dessus. Leur hormone sexuelle dominante, l’œstrogène, est la raison principale à cela. Le taux d’œstrogène d’une femme augmente fortement durant sa phase ovulatoire ce qui l’amène souvent à des changements d’humeurs et contradictions inexplicables. Une partie des femmes ne peuvent même pas supporter la pilule contraceptive pour les mêmes raisons.

Cette émotivité rend les femmes beaucoup plus manipulables que les hommes. J’ai rarement entendu un homme se plaindre de s’être fait avoir par une « belle parleuse ». En revanche, mentir et vendre du rêve à une femme fonctionne à merveille. Si je voulais faire grincer des dents, je dirai même que c’est la raison pour laquelle le pouvoir a donné le droit de vote aux femmes (et aussi aux jeunes, en abaissant l’âge de 21 à 18 ans). Car ces deux catégories sont les plus manipulables, c’est à dire soumises à l’idéologie dominante. Ils ne feront certainement pas la révolution demain et ne voteront même jamais à contre-courant.

Utilisez votre logique. N’écoutez pas ce qu’elle dit, mais regardez ce qu’elle fait. Elle prétend n’aimer que les mecs gentils et romantiques mais finit toujours dans le lit du mec un peu autoritaire et borderline ? Je vous laisse conclure.

Lire la suite de l’article sur leroidelajungle.fr

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166 Commentaires

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  • #1535452

    Rassurez-vous Messieurs ; si les hommes "moches et pauvres" ont du mal à trouver une nénette (j’en vois pourtant bcoup des comme ça mariés...." et bien les filles" pas belles et timides" ont peu de chance de se faire draguer !! ........

     

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  • #1535486
    Le 16 août 2016 à 13:17 par Régulus
    "Aimer" signifie-t-il la même chose pour l’homme et la femme ?

    Article intéressant dans les grandes lignes, j’y retrouve certaines de mes conclusions passées, mais article simpliste et réducteur car nous sommes aussi conditionnés par notre vécu, expériences, statut social etc, qui sont de grands paramètres qui pèsent lourdement dans l’équation.

    Pour ma part, j’ai complètement abandonné cette quête et fais mienne cette solitude qui me faisait tant peur...
    Je consacre maintenant le sens de ma vie (et il y a du boulot) à devenir un homme bien.

    Le renoncement est parfois une forme de sagesse.

     

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  • #1535555
    Le 16 août 2016 à 15:34 par Hollthaler
    "Aimer" signifie-t-il la même chose pour l’homme et la femme ?

    Plus loin l’auteur dit que les femmes ne veulent surtout pas s’endetter vis-à-vis de l’homme. Qu’est-ce qu’elle ne veulent instinctivement pas s’engager a devoir nous rendre ? Si ce n’est la progeniture.

     

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  • #1535578
    Le 16 août 2016 à 16:08 par paramesh
    "Aimer" signifie-t-il la même chose pour l’homme et la femme ?

    la maternité est un fait biologique évident (l’enfant sort d’une matrice feminine)
    la paternité doit être prouvée
    le patriarcat qui est la culture de la patrilinéarité (l’enfant appartient au père et l’héritage va à l’enfant mâle) est donc une culture, sa résultante est le mariage, un contrat social. selon ce contrat l’homme prend possession d’une matrice et doit la contraindre à ne pas aller voir ailleurs alors qu’elle a perdu son droit naturel à l’enfant et qu’elle n’a aucune indépendance économique puisque les biens matériels sont une exclusivité masculine)
    l’amour charnel n’a qu’un temps, l’amour social plus durable est une invention humaine qui n’est qu’un contrat moral : l’homme dit à la femme, tu m’as donné ta fidélité (car elle m’est nécessaire pour que l’enfant soit vraiment de moi, je te donne en échange ma fidélité pour équilibrer ce pouvoir que j’ai sur toi (et on sait ce que ça donne en général dans la réalité.
    Tout est donc une question de pouvoir.
    or historiquement le fondement de la vie sociale est la famille organique. la maternité est organique mais la paternité est sociale.
    Le rôle du père n’est que social car il n’accouche pas et ne nourrit pas (par les voies naturelles). ce qui veut dire que son rôle biologique est totalement secondaire. en ce sens peut importe qu’il soit le père biologique, l’important est qu’il s’assume comme un père social.
    Historiquement, les premières sociétés humaines étaient matrilinéaires tout simplement parce que le rôle du sperme était inconnu, donc naturellement la famille de la mère s’occupait du bébé, l’oncle puis les mâles de la famille maternelle jouaient le rôle de père, initiaient l’enfant à la vie sociale et lui procuraient l’affection nécéssaire.
    pour résumer, pour qu’un homme soit père et propriétaire de son enfant,(à part ceux de ses soeurs ou de sa famille de sang (matrilinéaire) il doit asservir une femme, l’acheter ou la prendre de force et surtout la contraindre par des usages ou des lois pour la contraindre à la fidélité.
    et là les problèmes commencent.
    dernière précision, si le patriarcat est un pouvoir contraignant de l’homme sur la femme, la matrilinéarité est juste un ordre naturel puisqu’elle n’impose aucune contrainte au père biologique et donc l’idée même d’un matriarcat est totalement illogique.

     

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    • #1535967

      Par le mariage la femme est adoptée, nul besoin d’en faire une esclave.

       
    • #1536051

      ne jouons pas sur les mots, esclavage ou tutelle, le résultat de nos "réformes" sociétales (indépendance financière des femmes par leur mise au travail, divorce et partage des biens communs,) nous donne le résultat suivant, ce sont 70% des femmes qui demandent le divorce et les mariages sont en chute libre. or ce qui pourrait être une bonne chose : le retour à la matrilinéarité (la filiation par la mère) est rendue impossible à cause de la destruction totale de la famille élargie (sur plusieurs générations). du coup la femme se retrouve mère célibataire isolée et les anciens à l’hospice.quant à l’homme c’est idem
      tout est lié. la mort de la dernière cellule organique de la société (la famille lignagère) est totalement accomplie, ne subsiste encore que cette famille nucléaire par alliance (un couple et des enfants en bas âge) fondée sur le mariage et donc des rapports de force.
      l’amour conjugal dont on nous rabat les oreilles ne suffit pas à estomper ces rapports de force, c’est évident car inventé par le mâle, il n’est, de facto, utile qu’au mâle
      Donc accuser les femmes de rompre un contrat amoureux qui leur est étranger , c’est un peu fort de café. la violence n’est pas féminine, devant la violence la femme préfère la fuite : et c’est ce qu’elle fait inconsciemment devant le mariage.
      Je sais, ce que je raconte est loin de la doxa, et peut en choquer beaucoup mais je m’intéresse aux causes profondes,originelles, celles qu’on a totalement évacuées de nos problématiques contemporaines.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%...

       
    • #1536645

      Bonjour,

      Je vous conseille la lecture de ’’vers la féminisation ’’ où le père Soral démontre brillamment que le socio-économique a pour origine et pour but le monde affectif. Car l’homme a pour origine et but la femme.
      La place de l’homme n’est pas une vision culturelle arbitraire mais la condition de la réalisation de la femme et de l’amour.
      Si j’ai bien tout lu Soral !

      Salut amical.

       
    • #1536885

      je ne vois pas ce que cela a de contradictoire. à moins que vous pensiez qu’une filiation matrilinéaire produise des éfféminés et des irresponsables ? c’est oublier qu’il y a le même nombre d’hommes dans une lignée matrilinéaire que dans une lignée patrilinéaire. de plus, c’est l’homme dans les deux cas qui assure la socialisation de l’enfant (tout ce qui se situe loin de l’omphalos, la matrice donc le monde extérieur et sauvage). c’est le principe du dépassement de l’Oedipe (lisez Lucien Cerise sur ce sujet précis) et si cela peut vous rassurer il y a eu des peuples matrilinéaires plutôt guerriers et ce sur toute la planète)
      je dis juste (et j’attends toute négation critique sérieuse) que le passage de la matrilinéarité à la patrilinéarité a été la cause historique du passage de la complémentarité organique homme/femme à un rapport de force homme/femme .
      Or quand il y a un rapport de force il y a toujours un gagnant et un perdant.
      l’homme est le gagnant dans le cas du patriarcat,il s’est accaparé la propriété juridique de l’enfant (le nom de famille) au dépends de la génitrice organique.
      Mais il doit en payer le prix : une répression sexuelle sociale (les femmes ne sont pas libres donc disponibles) d’autant plus forte que le patriarcat est puissant, cela nous donne des sociétés où la testosterone se libère dans l’agressivité violente plutôt que dans l’acte sexuel.(Grèce, Rome, Islam par exemple, avec une petite diférence, la Grèce utilise l’homosexualité pour réguler et canaliser cette violence.
      la libération sexuelle bien comprise c’est juste retrouver le plaisir d’une activité naturelle et non marchande car le mariage n’est que l’achat plus ou moins bien déguisé d’une femme et de sa soumission. les sociétés traditionnelles sont beaucoup moins hypocrites du coup on le voit mieux le côté soumission (le mariage chrétien,musulman,Chinois hindou). mais notre mariage trafiqué répond aux mêmes exigences de fond sauf qu’il en a supprimé le côté répressif et c’est pourquoi il se casse la gueule.

       
    • @ A

      On n’a pas dû lire le même bouquin.

       
    • #1537556

      La femme fuit le mariage !!! ???, c’est elle qui le demande le + souvent....

       
  • #1535752

    Oh la la, on dirait que c’est un monsieur "bas du panier" qui a écrit cet "article" tellement ça schlingue la frustration... Pas bien ça, non, pas bien... :)

     

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  • #1535768

    Pensons-nous un jour réussir à distinguer l’’’Amour’’ (Lumière de l’âme) et ’’aimer’’(attachement, enfermement, ’’je t’attire, je t’aimante)) ?

    Alors pour commencer un petit situé s’impose. Comment respecter l’autre quand on y arrive pas soi-même ? La société est si parfaite dans l’illusion qu’elle offre vis à vis du quand dira-t-on, qu’elle dupe véritablement au sujet du sentiment de la Vertu d’Humanité qu’elle n’a pas...

    Aussi, s’approcher de l’autre, pensant que l’autre pourrait répondre à l’idéal fantasmé, hé oui souvent le bipède social n’a que cela à quoi se raccrocher pour ne pas sombrer totalement dans le désespoir, est devenu l’objectif numéro un : combler le vide affectif. A noter qu’être né dans la société suppose donc avoir des manques, des carences, et subir en permanence l’enfermement lié à son propre terrain parental, alors avec tout ça c’est sûr que vivre une relation réelle est quasiment impossible, sauf lorsque par miracle des forces d’esprit suffisantes sont au rendez-vous et permettent la magie qu’il peut véritablement se créer entre une femme et un homme.

    Mais revenons à nos moutons... Dans la société, les individus qu’ils soient hommes ou femmes, du fait de leur conditionnement, s’adonnent à leur attraction préférée très infantile et nombriliste : les jeux amoureux... Ils n’y peuvent rien, c’est la conséquence d’avoir évolué dans un système anti-nature qu’est cette société ! Il faudrait d’ailleurs penser à organiser des rencontres sur les J.A (jeux amoureux), ainsi qu’une remise de trophées visant à récompenser celui qui saura le plus étonner par sa manière de piéger l’autre grâce à son masque... S’il y a des candidats qui souhaitent dès à présent s’inscrire, qu’ils se déclarent ! Ce sujet fera l’objet d’une enquête des plus intéressantes sur l’être qui paraît-il est social par essence...

    Cessons à présent la comparaison avec le règne animal et tenons-nous en à la constitution même d’une femme et d’un homme... Avons-nous Conscience que la femme est beaucoup plus magnétique que l’homme dans son corps et que l’homme lui est électrique ? Savons-nous pourquoi du point de vue du Vivant et non de la société ? Evidemment, l’éducation est primordiale concernant ces deux polarités pour faire en sorte qu’à l’âge adulte l’état de Relation prennent le pas sur les J.A. Comment alors définir une relation entre une femme et un homme qui irait dans le sens du Vivant et non de la société... ?

     

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  • #1535811
    Le 16 août 2016 à 21:43 par STEF de MARS
    "Aimer" signifie-t-il la même chose pour l’homme et la femme ?

    Excusez-moi, les amis, mais quand on commence par dire que "les lions sont des salauds" et "les lionnes ne sont pas des salopes", ça situe d’entrée le niveau maternelle du discours.
    Il me semble entendre parler mes mômes : "Oh les méchants lions, ils font rien qu’à tuer les gentilles gazelles !".
    Projeter ses propres sentiments sur Dame Nature, c’est faire preuve d’un anthropomorphisme puéril qui discrédite toute tentative philosophique.
    Croyez-moi, ce n’est pas ce genre d’éditorialiste à deux balles qui risque de vous éclairer sur " l’amour ", sujet aussi vaste et profond que la bêtise humaine...

     

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  • #1536207

    Donc si je comprends bien DSK était une femme. :)

     

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  • #1536230
    Le 17 août 2016 à 17:04 par Taunteur
    "Aimer" signifie-t-il la même chose pour l’homme et la femme ?

    Les psychologues évolutionnistes auraient-ils finalement raison ?

    La misère affective et sexuelle contemporaine s’explique notamment par un modèle éducationnel (dont l’absence symbolique ou réelle du père) qui ne prépare plus l’individu en devenir à affronter la réalité des rapports H/F (idées fausses sur les femmes, déficit de virilité sous toutes ses formes, de responsabilisation, d’endurance et de courage face à l’adversité, etc.).
    Alain de Benoist parle d’une génération de « narcissiques immatures » ... j’ajouterais « métrosexuels ».

    Si l’on additionne à cela le formatage de l’école, d’une partie de la littérature et du cinéma et des médias qui répéteront ad nauseam un même baratin tel que « les filles n’aiment que les garçons gentils, bien élevés, elles détestent les hommes "à l’ancienne", ton patrimoine n’a aucune importance » ... on court à la catastrophe.

    J’ai moi-même été d’une invraisemblable naïveté quant aux femmes jusqu’à l’âge de 25 ans, avant qu’un article similaire à celui-ci me faire avaler, non sans peine, cette fameuse « pilule rouge » ...
    Pire, j’étais le prototype du « gentil garçon frustré » (AFC, pour les initiés), généralement ignoré ou méprisé des femmes car perçu comme un « homme faible ».

    Je remercie d’ailleurs Alain Soral d’avoir contribué à m’ouvrir les yeux sur ce sujet par le biais de certaines de ses vidéos et interventions télévisées.

    J’ai désormais un peu plus d’expérience et je ne peux qu’approuver les idées développées dans cet article. « Jamais une femme ne t’aimera comme ta mère t’aime, jamais une femme ne t’aimera du même amour que celui que tu lui portes ».
    C’est brutal, violent, déprimant et extrêmement déstabilisant ... comme tous les retours à la réalité.

    Il est par ailleurs amusant d’observer qu’en dépit d’un siècle de féminisme, l’adage « l’homme propose, la femme dispose » fasse toujours autorité dans le domaine de la séduction ... bizarrement, les revendications égalitaristes de ces dames trouvent ici une exception notable de même que cette modalité de la « Tradition » semble curieusement leur convenir, à défaut de toutes les autres.
    Il n’est ainsi pas étonnant qu’elles luttent contre la drague de rue et mettent en avant internet et les sites de rencontres ... où elles dominent totalement et peuvent pratiquer un élitisme absolu en toute sécurité et avec une grande efficacité.

     

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    • #1537430
      Le Août 2016 à 13:46 par Rosseur de poulardes
      "Aimer" signifie-t-il la même chose pour l’homme et la femme ?

      Taunter,

      Je comprends et je suis d’accord avec votre post, sauf avec ce qui me semble abusif :

      « Jamais une femme ne t’aimera comme ta mère t’aime, jamais une femme ne t’aimera du même amour que celui que tu lui portes »

      Bon, que les conjointes aiment moins qu’une mère, ok, c’est évident, mais dire que les femmes aiment moins que les hommes, c’est quand même se moquer grassement du monde : ce n’est vrai à la limite qu’aujourd’hui, en occident, et franchement pas toujours. Et si on prend notre passé + ce qui se passe dans les autres civilisations, la femme est aimante, épouse des gars moches (alors que l’inverse, hum hum), s’occupent et aiment ses enfants alors que l’homme abandonne souvent femme et enfants, etc. Et ça, c’est pas de la culture télé, ni bouquins, c’est du constaté, de visu, partout.

      C’est la contraception qui masque en occident que les hommes laissent tomber les enfants (puisqu’il n’y a que des gosses calculés, grâce à la contraception). Ailleurs, où les gosses naissent du fait d’un simple rapport, les hommes se barrent et laissent tomber même leurs bébés !
      Je ne vais pas donner de noms de pays ou de continents entiers, tellement c’est généralisé.

      Critiquer la femme moderne, je suis pour, mais n’oubliez pas de critiquer aussi, et objectivement, le comportement de l’homme, sinon, vous ne faites que la moitié du boulot.

       
    • #1542777

      @Rosseur de poulardes

      Lorsque j’ai prétendu que « Jamais une femme ne t’aimera comme ta mère t’aime, jamais une femme ne t’aimera du même amour que celui que tu lui portes » je voulais dire deux choses, par ordre d’apparition dans la phrase :

      1. Les romantiques immatures qui s’imaginent que toutes les femmes sont comme leur mère et s’abstiennent ainsi de tout effort puisque jouissant de l’assurance d’être aimés quoi qu’il arrive doivent opérer un retour au réel.
      2. Je persiste à croire que s’il n’est pas nécessairement différent en intensité (je vous rejoins là-dessus), l’amour réciproque d’un homme et d’une femme ne relève pas du même processus psychique. Tout l’article tend d’ailleurs à le démontrer.
      Les raisons d’aimer diffèrent grandement entre les sexes, même s’il y a quelques points communs, cela s’entend.

      Par ailleurs, les commentaires étant limités à 2500 caractères, je ne pouvais être exhaustif : j’ai donc pris le parti de commenter du point de vue qui est le mien, c’est-à-dire celui d’un homme avec un petit peu d’expérience.
      J’aurais pu tout aussi bien pondre un pavé à charge contre les hommes mais cela aurait sans doute manqué d’objectivité et après tout, chacun son rôle ! J’attends qu’une femme intelligente fasse le boulot.
      Je reconnais évidemment qu’hommes et femmes se partagent la responsabilité de la situation dans laquelle on se trouve.

       
  • #1536444

    Je ne compte plus les cas dans mon entourage, d’hommes qu’on ramasse à la petite cuillère parce que leur femme ou leur copine, aimante et douce une semaine plus tôt, se transforme soudain en glacon et décide de dégager le mâle de sa vie de la moins cavalière des facons.
    La nature émotive de l’esprit féminin, plus le choix quasi-illimité d’hommes dans un contexte urbain et de prolifération des sites de rencontre plein de crève-la-dalle, mène à ce genre de situations.

     

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