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Élisabeth Borne humilie une handicapée : "J’entends votre émotion, Dolorès"

Elle est froide comme un caillou. Personne ne lui demande de chialer, ou de faire semblant d’avoir de l’empathie, mais le Premier ministre n’a ni larme à l’œil ni empathie. Ceux qui sont passés sous ses ordres le savent : c’est un animal à sang froid. Dolorès, qui lui explique sur France Bleu qu’elle ne peut pas bosser après un accident, se voit proposer de... trouver un boulot. C’est bien le Premier ministre de Macron, tiens !

« J’entends votre émotion Dolorès »

 

Il n’en fallait pas plus pour déchaîner les RS. Une réaction parmi d’autres (on a pris la plus gentille) :

 

« Quand elle n’est pas contente, elle le fait savoir, mais ce sont vraiment des colères saines... »

On parlait d’un reptile à sang froid, c’est le cas, et France Info a retrouvé d’anciens collaborateurs de Borne qui parlent – c’est un euphémisme évidemment – d’une femme « exigeante ». Autrement dit, le management à la schlague. Heureusement, les collabos de France Info corrigent le tir.

Des postes prestigieux où elle a eu l’occasion de travailler avec des centaines de collaborateurs. Une dizaine d’entre eux ont accepté de raconter à franceinfo, sous couvert d’anonymat, la méthode Borne, déjà décrite en 2018 dans Le Monde. Le quotidien citait alors « un bon connaisseur de l’entreprise » évoquant le surnom peu flatteur dont avait hérité la patronne : « Burn-out ». Si certains de ses anciens collaborateurs battent en brèche cette image d’une cheffe qui essore ses subalternes, tous s’accordent sur un point : Élisabeth Borne se montre extrêmement exigeante.

Oublions France info, qui fait trop de lèche, et reprenons l’article du Monde, nettement plus honnête :

« C’est une bosseuse infatigable, dit d’elle un familier. Premier mail à 5 heures du matin, dernier à minuit. » Tous les témoignages concordent : Élisabeth Borne ne se ménage pas et elle ne ménage pas ses équipes, priées de suivre le rythme. « À la RATP, on en connaît plus d’un qui sont sortis de son bureau en larmes, lâche un bon connaisseur de l’entreprise. Elle y était surnommée “Burn-Out”. »

C’est étrange, on n’entend jamais les féministes quand une femme est violente. C’est probablement réservé aux hommes...

La Borne, sur E&R :

 






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