Ce que les gens oublient tellement bien c’est que la sexualité dans les jeux , elle vient d’eux, de ce qu’ils sont.
Pareil pour internet, internet ceci, internet celà, répère des déviants lalala, mais internet n’est qu’une émulation de l’humanité, il n’à pas d’essence propre, c’est amuser de blamer une chose.
Est ce qu’il vous viendrait à l’esprit d’accuser une pierre d’obscénité parcequ’elle vous évoque un pénis ?
_ ;Encore plus si c’est vous qui l’avez taillée à cette forme.

On ne se rapelle plus le nombres de fois on l’on à accusé " la publicité " ou " le cinéma " , " la télévision ",
oui mais les amis, toutes ces choses viennent de vous...

Dans le genre révolution française dans les jeux vidéos, avant Alone In The Dark, il y avait eu "Another World" (1991) et sa suite "Flashback" (1992). Les deux réalisés sur Amiga 500 par un seul gars, Éric Chahi, et diffusés par Delphine Software. Innovant car c’est le premier jeu vidéo à utiliser la technique de rotoscopie pour le mouvement du personnage et l’ensemble des graphismes étaient polygonaux (à contrario des jeux "au pixel" précédent).

On retrouvera une technique similaire dans une fameuse démo "9 Fingers" du groupe norvégien "Spaceballs" en 1993, toujours sur Amiga. J’ai participé à l’époque à des demo-party en France et en Europe, dont ma dernière à Brest pendant 3 jours, 3 jours avant mon départ au service militaire. Les Français avait du talent et à l’époque de l’Amstrad CPC on avait un groupe de démomaker génialissime : le Logon System. Les amateurs s’en souviendront avec nostalgie.

erreur traditionelle du capitaliste qui fait des gateaux avec de la merde " parce que les gateaux ça se vends ", oubliant que les gens n’achetent pas des gateaux parce qu’ils sont nommés gateaux mais parce qu’ils sont bons.

En langage simple on dénature pour profit.

@ MaxC

Petite correction, Eric Chahi n’a pas travaillé sur Flash Back :)

Ps : Je suis nostalgique de la période Amiga

@Amon^Ra

Dont acte camarade. Comme c’est la suite je pensais qu’il l’avait également codé.

PS : moi aussi, encore plus que mon époque CPC.

Tu fais quoi comme boulot ?
Créateur de vaccin ?
Parce que sinon tu fais dans le frivole mon pote.

Et puis si t’aime pas la France et son génie, toi et ton pseudo vous avez plus qu’à partir en Norvège (ou aux USA puisqu’ils sont si bien que ça) tailler des bûches avec une hache. Vous serez les rois de la forêt, comme ya personne ça sera facile.

Et le jour ou y’a une panne de courant la dissidence virtuel s’évapore

Ils nous coupent de la vie, du lien, du réel !

Discours d’un usager de l’informatique, pas un programmeur. Programmer c’est aussi apprendre a comprendre le réel pas simplement pour le simuler ou le reproduire. La programmation est un mode de pensée et est une science à part entière. Mais c’est toujours pareil, soit tu utilises la science pour le bien, ou le mal, le futile, ou l’utile. Je suis informaticien mais ça ne m’empêche pas d’être extrêmement critique avec l’informatique et la science dans son ensemble, l’un n’empêche pas l’autre.

L’informatique pourrait produire des outils formidables qui feraient bondir l’humanitée vers un état bien plus élevé qu’aujourd"hui. Mais comme d’habitude, la volonté de ceux qui dirigent n’est pas dans ce sens. Est-ce pour autant que l’outil en lui-même est mauvais ?

Je penses, en terme purement philosophique, que l’informatique n’est pas une découverte fortuite. Elle est inhérente à l’univers et elle fait partie intégrante des modèles d’évolution des êtres intelligents. L’intelligence humaine est une chose, mais la nécessité cosmique en est une autre. Les fondements de l’ordinateur (réfléchissez à la sémantique ordinateur) sont purement mathématique, tout comme l’Univers.

Etre en négation avec l’ordinateur au sens noble c’est entrer en négation avec l’ordre cosmique.

@Max C
Je ne parle pas d’informatique (dont je ne connais rien ) mais d’internet !
Ma phrase est :
Les jeux électroniques,jeux en lignes ,jeux informatiques, sont l’éviction de l’être (nous) du réel...
C’est l’utilisation la consommation faites avec cet outil qu’est le net !
On joue au jeux électroniques (internet), puis on lit en ligne (internet), on rencontre en ligne (réseaux sociaux, internet), on fait l’amour en ligne (internet) , et pour finir on consomme en ligne (internet) !
Porno, pédophilie, Dark net, zoophile, djihadisme, horreur, drogue, etc...
La culture de tres bas niveau !
Je ne te parlerais point d’informatique, car je n’y connais rien et que tout cela me fait extrêmement peur, peut-être à tort, je ne sais pas !
Mais pour les miens ni internet, ni tablette, ni télé !
Je préfère interdire ce que je ne connais, sous mon toit !
Pas par haine ou dégout mais bien par peur ...
Et @Max C ce n’est qu’une critique comme tu dis, comme tu écris, de ce qu’ils nous offre avec cet outil !
Mille pardons mais ce n’est pas mon truc !
Que Dieu te protège l’ami (en espérant un jour te rencontrer dans la vraie vie ! )

max, il y a du vrai dans ce que tu dis, mais limiter l’ordre cosmique à du binaire est un peu limité, non ?
autrement je suis bien d’accord avec toi, peut importe la forme, il se trouve que sur le fond, l’intelligence créatrice française est inégalable, historiquement nous avons tout inventé, de la machine à vapeur à la carte à puce, et l’école française de mathématique est toujours la meilleure au monde.

@ "Chevalier Lefebvriste"...

Tes craintes sont légitimes camarade, et il faut absolument avoir des craintes sans quoi c’est la porte ouverte à tout et n’importe quoi. D’ailleurs, dans le prolongement de l’informatique, non atteint à ce jour, il existe la discipline dite de l’intelligence artificielle qui est intimement liée aux questions philisophiques.

A ce tite, je t’encourages à lire le formidable ouvrage "A la recherche de l’intelligence artificielle" de Daniel Crevier (traduit de l’anglais par Nathalie Bucsek) qui traite justement de toutes les problématiques à ce sujet et des questions philosophiques qu’engendre l’informatique dite intelligente. A lire dans le prolongement de "L’ordinateur et le cerveau" de John Von Neumann (traduit de l’américain par Pascal Engel), mais aussi de "La machine de Turing" de Alan Turing et Jean-Yve Girard. Pour les aspects purements mathématiques et la question de l’origine même des ordinateurs : "Histoire Universelle des Chiffres" de Georges Ifrah (en 2 volumes) sous titré : L’intelligence dces hommes racontée par les nombres et le calcul.

C’est assez pointu mais avec ça tu auras une idée très précise de ce qu’est l’informatique et son rapport intime avec les mathématiques. Fait moi confiance, tu as tout la dedans pour te faire une idée précise et personnelle du sujet.

max, il y a du vrai dans ce que tu dis, mais limiter l’ordre cosmique à du binaire est un peu limité, non ?

Effectivement, la base d’un ordinateur est binaire, c’est son fondement. Mais je connais très peu de programmeur qui utilisent l’outil en binaire. L’assembleur étant le langague du plus bas niveau possible. L’ordinateur en soit n’étant qu’un agrégat matériel de composants electroniques permettant de réaliser des opérations mathématique basiques de façon infaillible et rapide (encore que infaillible ça se pondère, mais je ne rentrerais pas dans les détails).

L’ordre cosmique est mathématique mais absolument pas binaire effectivement. Un ordinateur seul est en soit une machine inerte et insipide sans l’intelligence que l’homme lui insuffle. De fait, un ordinateur n’est pas intelligent. C’est un peu comme une voiture. Un homme ne sais pas courir à 200 km/h, une voiture sait rouler à 200 km/h. Mais sans l’homme une voiture reste à l’arret et ne sert à rien. L’homme se sert de la voiture pour se déplacer à des vitesses qu’il n’attendrait pas autrement - notez que ceci n’est pas une apologie de la vitesse, juste une analogie.

@MaxC
Merci @MaxC, j’ai bien lu ton post et vais au moins essayer dans lire un, je suis très intéressé par la lecture et un lecteur assidu !
Et je lis énormément donc mille mercis !
Des que je peux je prend acte !
Même si le sujet n’est point sur ma ligne !
Que Dieu te protège l’ami ...

Que Dieu te protège l’ami ...

Toi aussi l’ami.