Le fait que les deux hommes soient américains n’a rien à voir avec cette congruence. Leur positionnement sur le génocide, un déni, donc, s’analyse de deux façons différentes, mais seulement en apparence.
Trump est le président des États-Unis, Léon (XIV) le pape en exercice. Jusque-là, tout va bien. Ce qui les relie, c’est la responsabilité politique : d’une superpuissance d’un côté, de deux milliards de croyants de l’autre. On ne peut donc dire n’importe quoi. Mais il faut surtout savoir à qui on s’adresse,