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L'actualité en bref
Avril 2010
Dans une interview à Direct Matin publiée mardi, M. Besson affirme que "cela veut dire que la France se donne les moyens de respecter sa tradition de terre d ?asile". "Lorsqu’on est persécuté pour ses opinions politiques ou religieuses, on peut demander la protection de la France", a-t-il ajouté.
"Ces places sont destinées à celles et ceux que la République abrite pendant la durée d’instruction de leur dossier par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Opfra) auquel incombe la décision souveraine d ?accepter ou de rejeter les demandes d ?asile" et "dont j’applique les décisions systématiquement", déclare M. Besson.
Mais, pour le ministre, "les personnes déboutées du droit d ?asile ne peuvent prétendre se maintenir sur notre territoire".
"La France reste et restera la première terre d’asile d’Europe", a-t-il souligné.
M. Besson doit se rendre mardi au Cada de Livry-Gargan (Seine-St-Denis).