Le retour timide du petit Bedos et la fessée au petit Viktorovitch 33
L’affaire Nathalie Debaillie ou l’illusion de l’État protecteur 31
BHL au risque de la démence : « Rien n’est moins colonial qu’Israël ! » 45
De quoi le député Jérôme Guedj est-il victime : d’antijudaïsme ou d’antisocialisme ? 21
Malgré la propagande massive, le tourisme hitlérien bat des records 9
L'actualité en bref
Mai 2010Source : leparisien.fr
« Nous n’infirmons, ni ne confirmons car ce n’est pas le gouvernement qui fixe les tarifs du gaz. » Jeudi soir, dans l’entourage de Jean-Louis Borloo, ministre en charge de l’Energie, pas question de réagir à l’information du Figaro.fr selon laquelle les consommateurs pourraient voir leur facture de gaz augmenter de 4,5% au 1er juillet.
Même silence radio du côté de GDF Suez qui n’a pas encore saisi la Commission de régulation de l’énergie (CRE) dont l’avis est obligatoire.
Indexés sur les coûts du pétrole, les tarifs du gaz sont révisés tous les trois mois selon une formule qui, d’après le Figaro.fr, « permet de tabler sur une hausse de quelque 4,5 %».
Une hausse qui interviendrait après celle de 9,7 % intervenue le 1er avril dernier. Les associations de consommateurs, les syndicats et l’opposition avaient alors vivement dénoncé cette augmentation jugée « scandaleuse » et « injustifiée » en période de crise. Quelque 44% des foyers français se chauffent au gaz et près de 90% des foyers raccordés au gaz naturel sont soumis aux tarifs réglementés.