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L'actualité en bref
Mars 2010
Intervenant lundi lors d’une conférence conjointe avec la chancelière allemande Angela Merkel, le premier ministre turc Tayyip Erdogan s’est opposé aux nouvelles sanctions du Conseil de sécurité contre l’Iran.
"La communauté internationale a décrété à deux reprises des sanctions économiques contre l’Iran. Je ne suis pas convaincu de leur efficacité (...) La diplomatie me semble le meilleur moyen de régler le problème. Nous appelons à poursuivre efforts dans ce sens et espérons des résultats positifs", a-t-il affirmé.
Faisant allusion à Israël, le chef du gouvernement turc a déclaré que "d’autres pays possédaient déjà l’arme nucléaire, mais ne faisaient pas l’objet de sanctions".
La chancelière allemande a fait savoir pour sa part que son pays "soutiendrait les sanctions si l’Iran n’entreprenait pas de démarches concrètes" pour satisfaire les exigences de l’AIEA.
Les Etats-Unis ainsi que d’autres pays reprochent à l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire sous couvert du programme nucléaire qu’il prétend réaliser à des fins pacifiques. Ces quelques dernières années, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une série de résolutions contre l’Iran, l’invitant à stopper l’enrichissement d’uranium. Or, Téhéran rejette ces accusations, affirmant que ses recherches nucléaires ont pour seul objectif de satisfaire les besoins du pays en électricité.
Formulée par Washington et activement soutenue par Londres et Paris, l’idée de nouvelles sanctions est accueillie sans enthousiasme à Moscou et Pékin. Ni la Russie ni la Chine n’ont pour le moment répondu aux propositions américaines de nouvelle résolution du Conseil de sécurité comportant des sanctions contre l’Iran, remises le 3 mars dernier.
La Russie a déclaré à plusieurs reprises qu’elle doutait de l’efficacité des sanctions, mais a convenu que cette mesure pourrait s’avérer inévitable.