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L'actualité en bref
Avril 2010
Facebook, c’est fun, divertissant, et totalement inoffensif. C’est ce que la plupart d’entre nous pensons. Mais après l’enquête du journaliste Tom Hodgkinson du journal The Guardian, il est préférable de penser à deux fois avant de révéler quoi que ce soit sur vous.
Et comme on dit souvent dans les films américains, "tout ce que vous dites peut être utilisé contre vous." Par qui ? L’Agence Centrale de Renseignement des États-Unis (CIA) en personne !
En effet l’un des augmentations de capital la plus récente de Facebook est dû à une compagnie nommée Greylock Venture Capital, qui a investi la somme de 27,5 millions de dollars. L’un des principaux partenaires de Greylock est également membre du conseil d’In-Q-Tel, une entreprise qui n’est rien de moins que l’aile de capital-risque de la CIA.
Cela pourrait paraître bizarre et même paranoïaque, mais depuis longtemps les services de renseignement ont créé ce fond, qui "identifie et s’associe aux entreprises développant des technologies de pointe pour aider à fournir ces solutions à l’Agence Centrale de Renseignement et à la communauté du renseignement des États-Unis [NdT : Intelligence Community United States] pour poursuivre leurs missions."
Le Département de la Défense des États-Unis et la CIA adore cette technologie car elle leur facilite les recherches et l’espionnage. "Nous devons trouver de nouveaux moyens pour dissuader de nouveaux adversaires," a dit le secrétaire à la défense Donald Rumsfeld en 2003. "Nous devons passer à l’ère de l’information, qui est le fondement essentiel de nos efforts de transformation..." A-t-il ajouté.