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L'actualité en bref
Avril 2010
Le ministre brésilien des Affaires étrangères Celso Amorim, en visite lundi à Téhéran, a réaffirmé le soutien de son pays au droit de l’Iran aux technologies nucléaires civiles "pacifiques".
"Nous défendons pour le peuple iranien ce que nous défendons pour le peuple brésilien, c’est-à-dire le droit à développer des activités nucléaires pacifiques", a déclaré M. Amorim, lors d’un entretien avec Said Jalili, négociateur iranien de ce dossier.
Avant son arrivée à Téhéran, M. Amorim a affirmé lors d’une interview, qu’il ne voit pas l’Iran proche de construire une bombe" nucléaire. "Appelez-nous naïfs, mais je pense plutôt que les naïfs sont ceux qui croient tout ce que les services de renseignement américains disent. Regardez le cas de l’Irak", a-t-il ajouté. Le ministre brésilien des Affaires étrangères, dont la visite de deux jours est centrée sur le dossier nucléaire iranien, devait encore s’entretenir avec son homologue Manouchehr Mottaki, le chef du Parlement Ali Larijani et le président Mahmoud Ahmadinejad, avant la visite prévue en Iran les 16 et 17 mai du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.
Selon les Affaires étrangères iraniennes, les entretiens portent sur "le droit de l’Iran à exploiter ses compétences scientifiques dans le cadre de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)", et "les dernières discussions autour de l’obtention par l’Iran du combustible nucléaire" dont il a besoin pour son réacteur de recherche de Téhéran.
Notons que le Brésil, qui siège au Conseil de sécurité de l’ONU, refuse de se prononcer en faveur d’une résolution sanctionnant l’Iran. Pour faire approuver une résolution, 9 des 15 membres du Conseil de sécurité (10 non permanents, 5 permanents avec droit de veto) devront voter "pour".