Les Français se noient par centaines, nous dit la presse. La faute au réchauffement, aux villes trop chaudes, et à la ruée sur des plans d’eau naturels pas adaptés, ou pas surveillés. Il en résulte 200 morts depuis le début de juin, beaucoup plus que l’an passé (140 à la même époque).
Au-delà des acharnés du réchauffisme, qui vont chercher un glaçon fondu en bas de la mer de Glace pour nous prouver qu’il fera 50 degrés à Paris en 2050 (la plupart des provinciaux, qui sont parisienistes, ne s’en plaindront