Le discours de la « suceuse de sionistes » Sophia Aram au dîner du CRIF 2025 4
Une semaine sur Twitter S03E27. La récolte hebdomadaire d’Arthur Sapaudia 10
Lassé par le bipartisme, Elon Musk créé son parti politique. American Party 4
Dominique de Villepin de la France répond aux accusations de Yonathan Arfi du CRIF 12
Jean-Noël Barrot, les yeux injectés, saute à la gorge d’un contradicteur 4
L'actualité en bref
Mars 2010
Certains États membres vont devoir rembourser un montant total de 346,5 millions € correspondant à des dépenses irrégulières effectuées dans le cadre de la politique agricole commune (PAC), en raison du non-respect des règles de l’UE ou de procédures de contrôle inadéquates en matière de dépenses agricoles.
En effet, si les États membres sont responsables des paiements et de la vérification des dépenses effectuées au titre de la PAC, c’est à la Commission qu’il appartient de s’assurer que les États membres ont correctement utilisé les fonds mis à leur disposition.
La Belgique, la Bulgarie, Chypre, le Danemark, l’Estonie, l’Allemagne, l’Espagne, la Finlande, la France, le Royaume-Uni, la Grèce, la Hongrie, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la Slovaquie et la Suède devront rembourser une partie de ces fonds.
Les principales corrections individuelles concernent les montants suivants :
47,5 millions € imputés à l’Espagne pour des coûts non admissibles et des déficiences constatées dans le système de contrôle dans le secteur des fruits et légumes ;
92 millions € imputés à la Pologne pour diverses déficiences concernant les aides « surfaces » pour les années 2006-2007 ;
105,5 millions € imputés à la Grèce pour des déficiences constatées dans le système de contrôle du coton et 18,5 millions € pour des mesures de développement rural, des déficiences graves et persistantes dans le système SIGC ;
14,2 millions € imputés au Royaume-Uni pour non-respect des délais obligatoires concernant les paiements directs ;
10,4 millions € (pour les exercices financiers 2003-2005) imputés aux Pays-Bas en raison du nombre insuffisant de contrôles de substitution réalisés pendant les années civiles 2003 et 2004 dans le secteur des restitutions à l’exportation.