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L'actualité en bref
Avril 2010
La guerre a commencé vendredi 9 avril et ce mardi matin, "l’engagement faisait rage sur le théâtre d’opérations" assure le colonel (air) Laurent Marboeuf.
Les forces de la "Confédération" (les méchants) se préparaient à une violente attaque des troupes de l’Alliance (les gentils) dans le secteur d’Alençon. Elles ont déjà perdu le secteur de Cherbourg, où elles mènent néanmoins des opérations spéciales. En mer, dans le "Channel", le face-à-face est également tendu. Les troupes de l’Alliance, qui ont été renforcées à la suite d’une opération amphibie, en provenance d’Amérique latine, sont clairement en train de prendre le dessus. Sauf coup de théâtre, l’Alliance (atlantique ?) va gagner cette guerre qui se déroule pour l’essentiel en Normandie, pardon en Sequena.
Le conflit est entièremet virtuel et il se déroule sur les écrans d’ordinateur du Collège interarmées de défense (CID). "Coalition 2010" mobilise un demi-millier d’hommes et de femmes. Les 300 stagiaires, français et étrangères, du CID, des étudiants en journalisme de l’ISCPA, des diplomates, quatre officiers généraux, des cadres militaires et des experts en simulation.
"En permanence, les stagiaries planifient l’engagement des forces" explique le colonel Marboeuf, maître d’oeuvre de cette exercice. Des "injections", sous forme de dépêches, viennent perturber le bon déroulement de la planification. Ici, un attentat, là un flot de réfugiés... et toujours une flopée de journalistes sur le dos. On apprenait ainsi ce matin l’existence dune "liesse saxonne à Caen et Lisieux"...
L’exercice consiste, pour des raisons pédagogiques, à simuler l’affrontement de deux alliances de type Otan. On voit là une limite de la manoeuvre : savoir d’avance comme pense et s’organise le camp d’en face. Tout l’exercice a lieu en anglais, retour dans l’Otan oblige.
Pour le général Vincent Desportes, qui commande le CID, "l’exercice porte sur le niveau opératif". "Il s’agit que nos stagiaires prennent en compte les contraintes du niveau stratégique et politique. Ils doivent comprendre que les fins de la guerre sont plus importantes que les frais dans la guerre".
Dernière heure : selon nos informations, les chefs militaires de la Confédération, conscients de l’imminence de leur défaite, auraient pris contact avec des avocats pour assurer leur future défense devant le Tribunal pénal international (TPI)