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L'actualité en bref
Avril 2010
Invité de la matinale de France Inter le 14 avril dernier, Alain Minc, couteau suisse de la Sarkozie, conseiller de Sarkozy qui espérait en retour quelques millions d’euros de la régie publicitaire de France Télévisions, s’attendait à se faire étriller par Stéphane Guillon.
Et il avait, du coup, troussé à l’avance un texte de réponse. Raté : Guillon n’a rien fait. Résultat : jamais l’humanité ne saura à quel point le penseur peut être drôle.
Heureusement, l’Express a réussi à se procurer le poulet en question. Que voici (attention à la crise de rire) : « Qui imaginerait que l’homme le plus puissant de France se cache derrière des yeux globuleux vidés par la bêtise ou, qui sait, par la cocaïne ? Qui penserait que le VRP multicarte, le paladin vengeur de France Inter se mue en routier bourgeois sur Canal + ? Qui devinerait que le pourfendeur de silhouettes - "petit pot à tabac" et "yeux de fouine" - pourrait être, hommage du vice à la vertu, si répulsif ?
Qui croirait que la nouvelle affaire Dreyfus concernerait un humoriste sans culture, un penseur sans tête ? Voilà. Afin que Stéphane Guillon découvre à son tour les charmes de la chasse au faciès. »
Sollicité par l’Express, Stéphane Guillon s’est dit « très impressionné par les débuts d’humoriste d’Alain Minc ».