Quand on écoute ce monsieur, à la tête de la très sympathique (avec le pouvoir) Cour des comptes, on a la dérangeante impression qu’il parle au nom des marchés, pour les marchés, au profit des marchés.
Si toi, petit contribuable français déjà lourdement ponctionné par l’État néolib macronien, tu n’acceptes pas le serrage de ceinture que je te prépare, alors ce sera pire, ce sera l’enfer.
Écoute, coco, c’est déjà l’enfer pour beaucoup, et on se demande si c’est pas carrément l’Enfer qui nous parle, là.
On